Les deux prévenus dans cette affaire, Amadou Sow et Soumanké Coulibaly, ont été inculpés pour association de malfaiteurs, collecte illicite de données à caractère personnel et diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs. Ils ont été arrêtes par les éléments de la Division des Investigations criminelles (Dic). Sur les motifs de leurs arrestation, les policiers ont été intrigués par le fait que tous les deux ont changé de téléphones portable après l'éclatement de cette affaire. Ils sont donc soupçonnés de vouloir effacer toute traçabilité.
Outre le changement de portables, un témoin a mis la puce à l’oreille des policiers en leur révélant que Coulibaly disposait de la vidéo diffusé sur la toile le 17 mars. Mais le mis en cause a nié. Quant à Sow, il a été le premier à avoir commenté la vidéo sur Facebook, il a lui aussi clamé son innocence. L’enquête a révélé que la vidéo a été prise à partir du service de vaccination où il y a une fenêtre surplombant le bureau de la partie civile. Et il se trouve qu'à l'exception de Coulibaly, tous les agents de ce service sont des femmes et la moins âgée d'entre-elles à 40 ans. Donc, pour les enquêteurs, seul Coulibaly a pu monter sur le lavabo et filmer la victime
Outre le changement de portables, un témoin a mis la puce à l’oreille des policiers en leur révélant que Coulibaly disposait de la vidéo diffusé sur la toile le 17 mars. Mais le mis en cause a nié. Quant à Sow, il a été le premier à avoir commenté la vidéo sur Facebook, il a lui aussi clamé son innocence. L’enquête a révélé que la vidéo a été prise à partir du service de vaccination où il y a une fenêtre surplombant le bureau de la partie civile. Et il se trouve qu'à l'exception de Coulibaly, tous les agents de ce service sont des femmes et la moins âgée d'entre-elles à 40 ans. Donc, pour les enquêteurs, seul Coulibaly a pu monter sur le lavabo et filmer la victime