
En affirmant que les créanciers doivent prêts de 5 milliards à sa structure, le directeur général du Fnpj Abdoulaye Thimbo fait comprendre qu’il a toute la traçabilité de cet argent. « Nous avons toute la traçabilité. Il y a d’abord des jeunes qui ont bénéficié de financement et qui n’ont pas payé. Ensuite, nous avons les mutuelles d’épargne qui étaient, en fait, les intermédiaires entre le Fnpj et les jeunes. Ces mutuelles d’épargne, pour la n’ont pas remis les fonds aux jeunes, donc ils n’ont pas décaissé. D’autres ont décaissé une partie. Ou alors, ils ont reçu même des remboursements de jeunes qu’ils n’ont pas remis au Fnjp », a soutenu Abdoulaye Thimbo dans l’Observateur repris par setal.net