
Le journaliste Malick Thiandoum a vigoureusement critiqué la récente posture du Premier ministre Ousmane Sonko, qu’il accuse de s’en prendre à toutes les institutions du pays, y compris le président de la République, la presse, les magistrats, ainsi que la société civile.
Dans une analyse sans détour, Malick Thiandoum affirme : « Lorsqu’on a un problème avec tout le monde, c’est qu’on est soi-même le problème. »
Il estime que la situation actuelle n’est pas liée à un simple déficit d’autorité, mais à une incapacité à respecter les engagements pris par le régime lors de la campagne électorale.
Selon le journaliste, Ousmane Sonko et son camp paient le prix de leurs promesses non tenues : « Ce qu’ils avaient présenté comme projet, ce qu’ils avaient promis durant les élections, ils sont incapables de le concrétiser. »
Il évoque notamment le livre-programme "Solutions", qui selon lui, reste lettre morte face à la réalité des urgences économiques du pays.
Selon Malick Thiandoum, « L’ennemi numéro un de Sonko et de ce régime, c’est la "VAR" : ces propos d’hier et d’aujourd’hui sont diamétralement opposés. »
Il accuse le Premier ministre de changer de ton face au président Bassirou Diomaye Faye et de nourrir une obsession pour le pouvoir, ce qui pourrait entraîner une crise institutionnelle grave. « Le pays n’a pas besoin de tensions politiques, mais de solutions concrètes face à la crise économique », a martelé Malick Thiandoum.
Il appelle à plus de responsabilité au sommet de l’État, mettant en garde contre les risques d’une bipolarisation du pouvoir exécutif, nuisible à la stabilité économique du pays.
Dans une analyse sans détour, Malick Thiandoum affirme : « Lorsqu’on a un problème avec tout le monde, c’est qu’on est soi-même le problème. »
Il estime que la situation actuelle n’est pas liée à un simple déficit d’autorité, mais à une incapacité à respecter les engagements pris par le régime lors de la campagne électorale.
Selon le journaliste, Ousmane Sonko et son camp paient le prix de leurs promesses non tenues : « Ce qu’ils avaient présenté comme projet, ce qu’ils avaient promis durant les élections, ils sont incapables de le concrétiser. »
Il évoque notamment le livre-programme "Solutions", qui selon lui, reste lettre morte face à la réalité des urgences économiques du pays.
Selon Malick Thiandoum, « L’ennemi numéro un de Sonko et de ce régime, c’est la "VAR" : ces propos d’hier et d’aujourd’hui sont diamétralement opposés. »
Il accuse le Premier ministre de changer de ton face au président Bassirou Diomaye Faye et de nourrir une obsession pour le pouvoir, ce qui pourrait entraîner une crise institutionnelle grave. « Le pays n’a pas besoin de tensions politiques, mais de solutions concrètes face à la crise économique », a martelé Malick Thiandoum.
Il appelle à plus de responsabilité au sommet de l’État, mettant en garde contre les risques d’une bipolarisation du pouvoir exécutif, nuisible à la stabilité économique du pays.