Décédé le samedi 30 novembre des suites de blessures, Maleyni Sané a laissé derrière lui une équation à plusieurs inconnus sur le ou les auteur (s) de sa mort. Matons, policiers et gardes pénitentiaires se rejettent la faute. Seulement, de ces trois couches, la troisième semble être la plus vulnérable et à en croire Ibou Diokhané qui s'est confié à l'Observateur, c’est son frère à qui on veut faire endosser le crime dont les parents de la victime sont convaincus qu’il porte la signature des gardes pénitentiaires.
Pour l’heure, c’est le prévenu Pape Diokhané qui jusque-là, était le chef de la chambre 9 où le défunt a été logé qui est mis en cause. En effet, depuis jeudi dernier, il est en garde à vue au commissariat central de Dakar dans le cadre de l’enquête qui fait suite au décès mystérieux de Maleyni Sané.
Pour l’heure, c’est le prévenu Pape Diokhané qui jusque-là, était le chef de la chambre 9 où le défunt a été logé qui est mis en cause. En effet, depuis jeudi dernier, il est en garde à vue au commissariat central de Dakar dans le cadre de l’enquête qui fait suite au décès mystérieux de Maleyni Sané.








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