A. Mbow aurait entretenu son commerce illicite au vu et au su de tout le monde. C'est sur le trottoir où elle vendait de la friperie que les enquêteurs l'ont interpellée en possession de 15 cornets de chanvre indien et de 11 000 francs.
D’après Rewmi Quotidien, la commerçante avait introduit le produit illicite dans une chaussette cachée dans son soutien-gorge.
Cuisinée par les enquêteurs, elle déclare qu'elle a ramassé la drogue au marché qui se trouve près de l'église des Parcelles Assainies.
Attraite devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour offre ou cession de drogue, elle change de fusil d'épaule, soutenant que le flic avait ramassé un cornet sur le trottoir, avant de lui en imputer la paternité.
"Je ne détenais pas de chanvre indien. Je ne porte même pas de soutien-gorge parce que je suffoque", a dit la prévenue, domiciliée à l'unité 17 des Parcelles Assainies.
Le parquet a requis l'application de la loi.
Pour la défense, il est très difficile d'établir la matérialité des faits, vu les contestations de la prévenue.
Ainsi, Me Ndiaye a plaidé la relaxe au bénéfice du doute.
Après avoir disqualifié les faits en détention de drogue, le juge a condamné la mise en cause à deux mois de prison ferme.
D’après Rewmi Quotidien, la commerçante avait introduit le produit illicite dans une chaussette cachée dans son soutien-gorge.
Cuisinée par les enquêteurs, elle déclare qu'elle a ramassé la drogue au marché qui se trouve près de l'église des Parcelles Assainies.
Attraite devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour offre ou cession de drogue, elle change de fusil d'épaule, soutenant que le flic avait ramassé un cornet sur le trottoir, avant de lui en imputer la paternité.
"Je ne détenais pas de chanvre indien. Je ne porte même pas de soutien-gorge parce que je suffoque", a dit la prévenue, domiciliée à l'unité 17 des Parcelles Assainies.
Le parquet a requis l'application de la loi.
Pour la défense, il est très difficile d'établir la matérialité des faits, vu les contestations de la prévenue.
Ainsi, Me Ndiaye a plaidé la relaxe au bénéfice du doute.
Après avoir disqualifié les faits en détention de drogue, le juge a condamné la mise en cause à deux mois de prison ferme.