SETAL.NET - En 72 heures, la Gambie a enregistré 3 meurtres. Suffisant pour que le président Yaya Jammeh - coutumier de fait, monte sur ses grands chevaux. Il a mis en garde contre l’augmentation des cas de meurtre dans son pays, déclarant que cette situation est « inacceptable ». Comme si nous devons juste effacer de nos mémoires, ses propres exécutions extrajudiciaires dont les dernières en dates sont encore frais dans nos pensées.
En effet, deux meurtres épouvantables de trois personnes et un infanticide, selon les termes de Jammeh ont été perpétrés en trois jours sur le territoire gambien. A l’en croire, ces forfaitures sont à l’opposé de ses attentes. Puisque lui Yaha Jammeh, ayant suspendu ses exécutions de condamnés à mort, ceci est sensé ramollir les comportements criminels des malfrats Gambiens. Helas. Et, il affirmait que la durée de la suspension des exécutions dépendait du niveau de la criminalité - ce qui présage, à tout moment , une reprise de ses velléités d'exécutions sommaires . Au grand dam des prisonniers qui jalonnent le couloir de la mort gambien.
En effet, deux meurtres épouvantables de trois personnes et un infanticide, selon les termes de Jammeh ont été perpétrés en trois jours sur le territoire gambien. A l’en croire, ces forfaitures sont à l’opposé de ses attentes. Puisque lui Yaha Jammeh, ayant suspendu ses exécutions de condamnés à mort, ceci est sensé ramollir les comportements criminels des malfrats Gambiens. Helas. Et, il affirmait que la durée de la suspension des exécutions dépendait du niveau de la criminalité - ce qui présage, à tout moment , une reprise de ses velléités d'exécutions sommaires . Au grand dam des prisonniers qui jalonnent le couloir de la mort gambien.







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