Suite au discours de la Tabaski du Chef de l’Etat qui admettait que l’Etat a fauté dans la gestion des manifestations violentes du 22 octobre dernier, nombreux sont ceux qui s’étaient fait une religion sur l’avenir de Mbaye Ndiaye, alors ministre de l’Intérieur. Macky Sall avait annoncé les couleurs avant de passer à l’acte 48 heures plus tard. Voilà que Mbaye Ndiaye, passant le témoin à son successeur, le Général Pathé Seck, qui reconnait n’avoir pas été à la hauteur en ce qui concerne les casses des Thiantacounes. « En toute objectivité, j’admets qu’il y a eu des disfonctionnements inacceptables lors des événements ayant occasionné des dégradations de biens publics et privés », reconnait Mbaye Ndiaye qui suggère que de telles épreuves « doivent servir de leçon et nous inciter à redoubler de vigilance afin qu’en toute situation de cause force reste à la loi ». Parce qu’en réalité, le 22 octobre passé, les Thiantacounes faisaient leur loi…







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