
Il s’apprête à quitter sa cellule après plusieurs mois de détention : Abo Mbacké, plus connu sous le nom de « Amir Abo », va recouvrer la liberté. Inculpé pour escroquerie et blanchiment de capitaux, celui qui avait été incarcéré à la fin novembre 2024 par le Pool judiciaire financier vient de bénéficier d’une liberté provisoire confirmée par la Cour suprême, selon les informations rapportées par Libération.
Cette décision marque un tournant inattendu dans une affaire qui avait défrayé la chronique. En effet, après que la Chambre d’accusation financière a jugé opportun de lui accorder la liberté provisoire — au motif notamment qu’il avait déjà remboursé les montants objets de l’escroquerie présumée — le parquet général, en désaccord, avait immédiatement introduit un pourvoi en cassation pour bloquer cette remise en liberté.
Mais la plus haute juridiction du pays a tranché hier : le pourvoi du parquet a été rejeté, validant de facto la libération de « Abo Amir ». Un coup dur pour le ministère public, qui espérait maintenir en détention préventive l’homme accusé d’avoir monté un vaste système d’escroquerie, aux ramifications encore floues.
Cette décision marque un tournant inattendu dans une affaire qui avait défrayé la chronique. En effet, après que la Chambre d’accusation financière a jugé opportun de lui accorder la liberté provisoire — au motif notamment qu’il avait déjà remboursé les montants objets de l’escroquerie présumée — le parquet général, en désaccord, avait immédiatement introduit un pourvoi en cassation pour bloquer cette remise en liberté.
Mais la plus haute juridiction du pays a tranché hier : le pourvoi du parquet a été rejeté, validant de facto la libération de « Abo Amir ». Un coup dur pour le ministère public, qui espérait maintenir en détention préventive l’homme accusé d’avoir monté un vaste système d’escroquerie, aux ramifications encore floues.