Le ministre de l’Assainissement et de l’Hydraulique devra bien tourner sa langue sept fois avant de se prononcer sur les inondations dont la gestion lui a été léguée après la « défenestration » de son homologue de l’Urbanisme et de l’Habitat, Khoudia Mbaye. Cette dernière qui lors des premières pluies a eu l’outrecuidance de déclarer que les inondations ne se régleront pas cette année l’a payé cher. Trop cher. Car elle a été tout simplement recalée au second plan au profit du « rewmiste » de Sangalkam. Conséquence de ce changement de gestionnaire des inondations : aucun travail pré-hivernal n’a été réalisé. C’est ce que Libération épluché par Setal.net appelle Cafouillages au cœur de l’Etat, si on y ajoute les mesures impopulaires prises ça et là par les nouvelles autorités.







Ports ouest-africains : entre modernisation et rivalité régionale
