« Les lutteurs sont de plus en plus en train d’être érigés en modèle. Or, malheureusement, ils se situent aux antipodes de la formation académique. C’est donner un mauvais référentiel aux jeunes pousses qui ont besoin d’exceller dans le domaine du savoir. Les petits, après l’école, au lieu d’aller faire leurs exercices ou leurs études d’approfondissement, vont plutôt suivre des combats de lutte organisés dans la cour de leur établissement. L’autre problème, c’est que tous les conflits qui existent au sein des écuries se déteignent au niveau des espaces scolaires », a souligné le sociologue dans L’Observateur repris par setal.net







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