La pluie a causé des désagréments tant aux habitants de ces sous-quartiers inondés qu’aux usagers de la route nationale difficile à emprunter à cause des eaux. ‘’En deux heures d'horloge, il est quasi impossible de parcourir cinq kilomètres’’, se désole Cheikh Diagne, un chauffeur.
‘’Je suis arrivé à Rufisque à 8 heures. Il est 10 heures et voilà que je n’arrive pas à franchir Diamaguène’’, s'alarme M. Diagne, coincé dans des embouteillages montres. Tout comme de nombreux automobilistes.
‘’Nous sommes d’autant plus inquiets que si jamais il pleut à nouveau et au même rythme qu’hier, nous serons obligés de vider nos maisons’’, s’inquiète Saliou Gaye, un habitant de Diamaguène.
Au contraire de nombreux usagers de la route et habitants des sous-quartiers inondés, Youssou Wade ne s’étonne pas outre mesure des désagréments causés par la pluie.
‘’Les dégâts étaient plus graves l’année dernière. La plupart des familles étaient contraintes d’emménager ailleurs’’ à cause des eaux de pluie, se souvient M. Wade, soldat de son état. De son propre gré, il s’emploie autour d’un conduit d’évacuation, pour mettre des maisons de son quartier hors des eaux.
‘’Ce canal, qui a été construit l’année dernière, est très utile pour nous. Seules quelques maisons sont inondées, grâce au canal. Les rues ont été épargnées des inondations’’, explique-t-il.
A Diamaguène, plusieurs endroits – maisons, rues et ruelles - sont à la merci des eaux. Une moto à pompe installée là ne fait guère le poids devant le volume d'eau enregistré.
Les fortes pluies ont rendu la circulation très difficile sur plusieurs routes de la capitale et créé des désagréments dans des villes de l'intérieur du pays, dont Thiès et Touba, où des inondations sont signalées.
‘’Je suis arrivé à Rufisque à 8 heures. Il est 10 heures et voilà que je n’arrive pas à franchir Diamaguène’’, s'alarme M. Diagne, coincé dans des embouteillages montres. Tout comme de nombreux automobilistes.
‘’Nous sommes d’autant plus inquiets que si jamais il pleut à nouveau et au même rythme qu’hier, nous serons obligés de vider nos maisons’’, s’inquiète Saliou Gaye, un habitant de Diamaguène.
Au contraire de nombreux usagers de la route et habitants des sous-quartiers inondés, Youssou Wade ne s’étonne pas outre mesure des désagréments causés par la pluie.
‘’Les dégâts étaient plus graves l’année dernière. La plupart des familles étaient contraintes d’emménager ailleurs’’ à cause des eaux de pluie, se souvient M. Wade, soldat de son état. De son propre gré, il s’emploie autour d’un conduit d’évacuation, pour mettre des maisons de son quartier hors des eaux.
‘’Ce canal, qui a été construit l’année dernière, est très utile pour nous. Seules quelques maisons sont inondées, grâce au canal. Les rues ont été épargnées des inondations’’, explique-t-il.
A Diamaguène, plusieurs endroits – maisons, rues et ruelles - sont à la merci des eaux. Une moto à pompe installée là ne fait guère le poids devant le volume d'eau enregistré.
Les fortes pluies ont rendu la circulation très difficile sur plusieurs routes de la capitale et créé des désagréments dans des villes de l'intérieur du pays, dont Thiès et Touba, où des inondations sont signalées.
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