SETAL.NET - Dans un texte intitulé « l’acharnement continue », l’ancien ministre d’Etat Samuel Ahmed Sarr révèle sur son mur Facebook qu’il a reçu aux environs de 12 heures deux agents de la Division des investigations criminelles (Dic) venus lui remettre une convocation qui mentionne qu’il doit répondre au juge du troisième cabinet le 27 février prochain.
Poursuivant son propos, l’ancien ministre de l’Energie fait savoir à ses amis, mais aussi à l’opinion qu’il a opposé une fin de non recevoir à cette convocation pour deux raisons : son statut d’ancien ministre n’y a pas été mentionné et l’objet de la convocation. Dans le bas du texte, Samuel Sarr « refuse de répondre au juge sauf s’il reçoit une convocation en bonne et forme légale ».
Il faut rappeler qu’il est cité dans le dossier du fuel frelaté vendu à la Sar par une société nigériane en 2008. C’est d’ailleurs dans cette affaire que l’ancien directeur de la Société de raffinerie africaine, Carmelo Sagna a été écroué.
Poursuivant son propos, l’ancien ministre de l’Energie fait savoir à ses amis, mais aussi à l’opinion qu’il a opposé une fin de non recevoir à cette convocation pour deux raisons : son statut d’ancien ministre n’y a pas été mentionné et l’objet de la convocation. Dans le bas du texte, Samuel Sarr « refuse de répondre au juge sauf s’il reçoit une convocation en bonne et forme légale ».
Il faut rappeler qu’il est cité dans le dossier du fuel frelaté vendu à la Sar par une société nigériane en 2008. C’est d’ailleurs dans cette affaire que l’ancien directeur de la Société de raffinerie africaine, Carmelo Sagna a été écroué.