Après avoir confirmé l’existence de ce projet de loi qui vise à rendre inéligibles aux mandats électifs aux personnes reconnues de détournements de deniers publics, Mimi Touré est revenue largement sur cette question. « C’est loin d’être un règlement de compte. Dans les démocraties modernes, c’est le règlement qui est en vigueur », a-t-elle notamment soutenu avant de s’interroger : « Vous trouvez normal que quelqu’un qui a été condamné pour détournement de deniers publics puisse après sa peine, se retrouver comme si de rien n’était son activité politique et se représenter à des élections ? » Selon elle, ce procédé est sévèrement sanctionné dans les démocraties modernes.







Sangalkam : 5 membres d’un gang armé, arrêtés pour vol de bétail
