’Les mouvements d’humeur des personnels de santé résultent de la situation du système qui est malade depuis quelques temps. Les acteurs ont jusqu’ici fait preuve de patience. Qu’ils aient confiance que les choses vont changer. Tous les acteurs doivent mettre les malades au centre de leurs préoccupations’’, a-t-elle déclaré à des journalistes.’Les personnes doivent se dire que ce qui va arriver sera mieux. Il faut qu’elles pensent aux malades en privilégiant le dialogue et la concertation’’, a-t-elle souligné.La ministre de la Santé intervenait en marge d’une cérémonie de lancement d’une initiative visant à étendre la couverture maladie aux indigents de la ville de Louga.Les infirmiers et autres personnels de santé affiliés au Syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale (SUTSAS) de l’hôpital régional Amadou Sakhir Mbaye de Louga ont réclamé l’amélioration de leurs conditions de travail au cours d’un rassemblement tenu devant cette structure sanitaire, ont rapporté plusieurs témoins.J’ai rencontré le directeur de cet hôpital aujourd’hui même. J’ai également rencontré les travailleurs et je les ai invités à discuter avec le directeur afin de trouver des solutions. Tous les acteurs doivent mettre les malades au centre des préoccupations. En cas de grève, ce sont eux qui en pâtissent’’, a laissé entendre Mme Seck.A Louga, le déplacement de la ministre de la Santé et de l’Action sociale intervient en prélude de la tenue dans la ville à partir de mercredi d’un Conseil interministériel et de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres (jeudi).







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