La dernière victime de l’article 80, n’est personne d’autre que le secrétaire général de l’UJTL, Bara Gaye, emprisonné depuis hier à la Mac de Reubeus pour offense au chef de l’Etat. Mais pour les défenseurs des droits de l’homme, de la liberté d’expression, cette disposition doit être supprimée. « L’article 80 doit être supprimé. Même dans les pays les plus démocrates comme les Etats-Unis, la France, etc, il n’existe plus » a estimé Assane Dioma Ndiaye sur les ondes de la RFM. De son avis, cette disposition donne toujours les hommes au pouvoir dans leurs relations avec les opposants la faveur de les poursuivre à tort ou à raison.







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