les lions » ont en effet encore concédé le nul (1-1) face au Burkina en match amical préparatif aux qualifications à la Can 2015. . Interrogé par le quotidien sportif « Waasports », à la fin du match, sur les raisons pour lesquelles ses protégés prennent toujours un but dans les dernières minutes, Alain Giresse de dire : « c’est parce qu’on ne fait pas la différence quand les occasions se manifestent. On ne met assez de buts. Comme je l’ai dit tantôt, si on marquait les occasions nettes qu’on a, même le but adverse n’allait pas se sentir «.
La réponse du sélectionneur national résume à elle seule, le manque de réalisme criard qui sévit dans la « tanière ». Pourtant, ils ont ouvert le score à la 55e mn par Pape Kouly Diop sur coup de pied arrêté. Cependant, comme à l’accoutumé, ils se sont fait rattraper au tableau d’affichage. C’est le 7e match nul des « lions » depuis qu’Alain Giresse à pris les rênes de l’équipe. Le 4e en match amical après ceux contre la Zambie, la Guinée et le Mali. Et comme par hasard, le score est toujours le même (1-1). Encore plus étrange, le Sénégal ouvre la marque avant de se faire rattraper.
Comme si la victoire les fuyait, les « lions » ont du mal à conserver une avance. Lors des rencontres citées plus haut, ils parviennent à se procurer une palette d’occasions, mais n’en mettent au grand maximum qu’une. Et pour ne rien arranger, ils craquent vers la fin en concédant un but, souvent par manque de concentration. Ce scénario qui commence à devenir un classique, montre la suffisance des « lions ». Dès qu’ils marquent, ils pensent être à l’abri. Alors qu’en football, tout peut changer en un clin d’œil.
Toutefois si l’attaque pêche dans le dernier geste, la défense quant à elle doit savoir fermer boutique pour pallier ce manque d’efficacité offensive.
La leçon à tirer dans tout ça est que les « lions » ne savent pas garder une avance par carence de réalisme, par suffisance, par manque de concentration ou les trois à la fois… Conclusion, les « lions » ne sont pas des tueurs
La réponse du sélectionneur national résume à elle seule, le manque de réalisme criard qui sévit dans la « tanière ». Pourtant, ils ont ouvert le score à la 55e mn par Pape Kouly Diop sur coup de pied arrêté. Cependant, comme à l’accoutumé, ils se sont fait rattraper au tableau d’affichage. C’est le 7e match nul des « lions » depuis qu’Alain Giresse à pris les rênes de l’équipe. Le 4e en match amical après ceux contre la Zambie, la Guinée et le Mali. Et comme par hasard, le score est toujours le même (1-1). Encore plus étrange, le Sénégal ouvre la marque avant de se faire rattraper.
Comme si la victoire les fuyait, les « lions » ont du mal à conserver une avance. Lors des rencontres citées plus haut, ils parviennent à se procurer une palette d’occasions, mais n’en mettent au grand maximum qu’une. Et pour ne rien arranger, ils craquent vers la fin en concédant un but, souvent par manque de concentration. Ce scénario qui commence à devenir un classique, montre la suffisance des « lions ». Dès qu’ils marquent, ils pensent être à l’abri. Alors qu’en football, tout peut changer en un clin d’œil.
Toutefois si l’attaque pêche dans le dernier geste, la défense quant à elle doit savoir fermer boutique pour pallier ce manque d’efficacité offensive.
La leçon à tirer dans tout ça est que les « lions » ne savent pas garder une avance par carence de réalisme, par suffisance, par manque de concentration ou les trois à la fois… Conclusion, les « lions » ne sont pas des tueurs