« En septembre 2012, profitant de mon absence du territoire national, le sieur Amadou Kane et quelques-uns de ses complices avaient publié une batterie de mesures à l’encontre de l’ORCAV de Diourbel que j’ai l’honneur de présider.
Nous avions dans un premier temps décidé de saisir la chambre administrative de la cour suprême pour lui demander d’annuler les actes arbitraires et anti textes publier par le sieur Amadou Kane et sa bande.
Par la suite après avoir bien étudié les documents avec des juristes rompus à la tâche, nous avons constaté qu’au-delà leurs caractères arbitraires, les documents sont faux. A partir de ce moment nous avions le choix de saisir le juge civile (cour suprême) pour demander l’annulation pure et simple de ces mesures ou de saisir le juge pénal (juge d’instruction), par plainte avec constitution de partie civile, pour faux et usage de faux et association de malfaiteurs. Après plusieurs rencontres nous avions opté pour le dernier choix.
Puisque la requête était déjà déposée au greffe de la cour suprême, pour qu’elle soit enrôlée nous avions l’obligation de payer l’amende de consignation et d’assigner les prévenus.
Ayant finalement décidé de saisir le juge pénal, nous avons renoncé de faire les obligations légales pour que la cour puisse déclarer la procédure irrecevable afin qu’on puisse poursuivre la procédure pénale.
Donc j’invite l’opinion à constater que nous avons délibérément décidé de renoncer à la procédure administrative au profit du juge pénal.
Nous comprenons aisément les agissements du sieur Amadou Kane et de ses affidés qui sont des maitres dans l’art de la manipulation pour berner l’opinion sur cette affaire .En tout état de cause nous on est très serein parce que on a le droit avec nous.
Je voudrais rappeler à l’opinion que suite à cette affaire, le juge du premier cabinet d’instruction a inculpé Amadou kane et ses complices pour faux et usage de faux et ils sont jusqu’à aujourd’hui sous le coup de cette inculpation, assorti d’un contrôle judiciaire.
Tout le reste est activisme et diversion pour évacuer le stress des inculpations.
La cour suprême n’a pas étudié la requête pour donner raison à une partie ou une autre. Elle l’a déclaré irrecevable par ce que nous avons délibérément choisi de ne pas payer l’amende de consignation et d’assigner les prévenus », explique –t-il dans l’ Observateur repris par setal.net.
Nous avions dans un premier temps décidé de saisir la chambre administrative de la cour suprême pour lui demander d’annuler les actes arbitraires et anti textes publier par le sieur Amadou Kane et sa bande.
Par la suite après avoir bien étudié les documents avec des juristes rompus à la tâche, nous avons constaté qu’au-delà leurs caractères arbitraires, les documents sont faux. A partir de ce moment nous avions le choix de saisir le juge civile (cour suprême) pour demander l’annulation pure et simple de ces mesures ou de saisir le juge pénal (juge d’instruction), par plainte avec constitution de partie civile, pour faux et usage de faux et association de malfaiteurs. Après plusieurs rencontres nous avions opté pour le dernier choix.
Puisque la requête était déjà déposée au greffe de la cour suprême, pour qu’elle soit enrôlée nous avions l’obligation de payer l’amende de consignation et d’assigner les prévenus.
Ayant finalement décidé de saisir le juge pénal, nous avons renoncé de faire les obligations légales pour que la cour puisse déclarer la procédure irrecevable afin qu’on puisse poursuivre la procédure pénale.
Donc j’invite l’opinion à constater que nous avons délibérément décidé de renoncer à la procédure administrative au profit du juge pénal.
Nous comprenons aisément les agissements du sieur Amadou Kane et de ses affidés qui sont des maitres dans l’art de la manipulation pour berner l’opinion sur cette affaire .En tout état de cause nous on est très serein parce que on a le droit avec nous.
Je voudrais rappeler à l’opinion que suite à cette affaire, le juge du premier cabinet d’instruction a inculpé Amadou kane et ses complices pour faux et usage de faux et ils sont jusqu’à aujourd’hui sous le coup de cette inculpation, assorti d’un contrôle judiciaire.
Tout le reste est activisme et diversion pour évacuer le stress des inculpations.
La cour suprême n’a pas étudié la requête pour donner raison à une partie ou une autre. Elle l’a déclaré irrecevable par ce que nous avons délibérément choisi de ne pas payer l’amende de consignation et d’assigner les prévenus », explique –t-il dans l’ Observateur repris par setal.net.







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