Après ses invectives contre un avocat de la défense dans un célèbreprocès en cours, nombreux sont ceux qui ont manifesté leur étonnement et leur surprise de savoir que lesdits jugements de valeur proviennent d’un ancien procureur ayant laisse des souvenirs peu gais dans le Fouladou. A la barre, celui qui était le procureur s’est fait prendre à partie par le fils ainé d’un notable disparu dont la jeune épouse semblait entretenir, selon la rumeur persistante, des relations de complicitédouteuses. Son salut, il le doit àl’emprisonnement abusif du garçon qui a tenté de laver l’honneur de sa famille, La majorité des populations s’en souviennent comme si c’était hier.
A côté de ces travers, l’ancien procureur de Kolda faisait monnayer certaines libertés. Comme àVélingara ou dans le cas d’un homicide involontaire, le bonhomme a reçu des pourboires pour relaxer le présumé auteur de l’acte incriminé. Les intermédiaires de la transaction sont encore en vie. Et c’est cet homme qui veut passer pour un saint dans des procès qualifiés à tort ou à raison de règlement de compte politique.
Ne pourrait-on pas aussi ouvrir les yeux de la nation vers le passé trop chargé de cette vermine recyclée dans une de nos sacrées institutions ? Sur quelle base a-t-il pu être élevé à ce rang ? N’est –il pas temps de procéder à des enquêtes de moralité avant de responsabiliser certaines personnes qui de par leur moralité douteuse défigure notre riche et noble trajectoire historique. L’avenir de notre pays, sa crédibilité et son rayonnement restent hypothéqués quand des individus de cet acabit (parce que sortis du néant) ont en charge la soi-disantreddition des comptes. Celle-ci n’est en réalité qu’un règlement de compte, né d’un complexe d’infériorité d’un prétendu régime qui ne vit et n’existe que dans l’immobilisme, lesslogans, la décentralisation stérile des conseils de ministre, la confusion dans la conception des projets, programmes, le déballage interne signe indicateur de gaminerie… Le propre des médiocres c’est toujours d’empêcher l’existence et l’émergence de l’excellence. C’est ainsi qu’il faut comprendre cet acharnement et lynchage médiatique contre des hommes et des femmes connus pour leur engagement et leurs compétences dans la construction de ce pays et qui en quelques années ont transformé de façon significative notre pays en l’élevant au rang des pays les plus modernes de notre région. Il est temps de se lever pour dire non à cette pratique synonyme de manque d’ambitions pour le pays. Car ce n’est pas avec des égarés que l’on construit un pays mais bien avec ceux qui ont prouvé et mis en valeur leurs compétences.
A côté de ces travers, l’ancien procureur de Kolda faisait monnayer certaines libertés. Comme àVélingara ou dans le cas d’un homicide involontaire, le bonhomme a reçu des pourboires pour relaxer le présumé auteur de l’acte incriminé. Les intermédiaires de la transaction sont encore en vie. Et c’est cet homme qui veut passer pour un saint dans des procès qualifiés à tort ou à raison de règlement de compte politique.
Ne pourrait-on pas aussi ouvrir les yeux de la nation vers le passé trop chargé de cette vermine recyclée dans une de nos sacrées institutions ? Sur quelle base a-t-il pu être élevé à ce rang ? N’est –il pas temps de procéder à des enquêtes de moralité avant de responsabiliser certaines personnes qui de par leur moralité douteuse défigure notre riche et noble trajectoire historique. L’avenir de notre pays, sa crédibilité et son rayonnement restent hypothéqués quand des individus de cet acabit (parce que sortis du néant) ont en charge la soi-disantreddition des comptes. Celle-ci n’est en réalité qu’un règlement de compte, né d’un complexe d’infériorité d’un prétendu régime qui ne vit et n’existe que dans l’immobilisme, lesslogans, la décentralisation stérile des conseils de ministre, la confusion dans la conception des projets, programmes, le déballage interne signe indicateur de gaminerie… Le propre des médiocres c’est toujours d’empêcher l’existence et l’émergence de l’excellence. C’est ainsi qu’il faut comprendre cet acharnement et lynchage médiatique contre des hommes et des femmes connus pour leur engagement et leurs compétences dans la construction de ce pays et qui en quelques années ont transformé de façon significative notre pays en l’élevant au rang des pays les plus modernes de notre région. Il est temps de se lever pour dire non à cette pratique synonyme de manque d’ambitions pour le pays. Car ce n’est pas avec des égarés que l’on construit un pays mais bien avec ceux qui ont prouvé et mis en valeur leurs compétences.







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