Selon des sources sécuritaires, dont la Minusca, des membres du groupe armé ex-Séléka du Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) seraient à l'origine des violences.
"Les forces de la Minusca ont fait leur travail en protégeant les populations civiles des éléments du MPC", a assuré le porte-parole de la Minusca, Vladimir Monteiro.
Les violences ont repris depuis la fin du mois de mai 2017 à Kaga-Bandoro, chef-lieu de la préfecture de Nana-Grébizi qui accueille depuis 2016 près de 20.000 déplacés et où les humanitaires ont de grandes difficultés à travailler.
La Centrafrique a basculé dans les tueries de masse en 2013 avec le renversement du président Bozizé par la rébellion majoritairement musulmane Séléka, entraînant des représailles de groupes anti-balaka se disant défenseurs des chrétiens.
Les interventions de la France (2013-2016) et de la Minusca (12.500 hommes) ont ramené le calme dans Bangui mais une grande partie du pays reste sous le contrôle de gr
"Les forces de la Minusca ont fait leur travail en protégeant les populations civiles des éléments du MPC", a assuré le porte-parole de la Minusca, Vladimir Monteiro.
Les violences ont repris depuis la fin du mois de mai 2017 à Kaga-Bandoro, chef-lieu de la préfecture de Nana-Grébizi qui accueille depuis 2016 près de 20.000 déplacés et où les humanitaires ont de grandes difficultés à travailler.
La Centrafrique a basculé dans les tueries de masse en 2013 avec le renversement du président Bozizé par la rébellion majoritairement musulmane Séléka, entraînant des représailles de groupes anti-balaka se disant défenseurs des chrétiens.
Les interventions de la France (2013-2016) et de la Minusca (12.500 hommes) ont ramené le calme dans Bangui mais une grande partie du pays reste sous le contrôle de gr







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