Aprés plusieurs mois d'accalmie entre les syndicats d'enseignants et le gouvernement ,les choses se compliquent dans les établissements du moyen et secondaire. Dans les temples on souffle le chaud et le froid. Les débrayages et les gréves ont fini de paralyser les enseignements apprentissages. Les éléves qui espéraient une année paisible et sans perturbations ont été surpris par la tournure des évenements. Aujourdhui; le constat est général,seules les écoles primaires et les établissements privés fonctionnent à temps plein.Et aprés avoir durement cravaché,Un candidat au Bac au lycée de Kounkané qui a préféré garder l'anonymat s'est dit offusqué et tente vaille que vaille de situer les responsabilités mais en vain. Etant les seuls qui vont en patir ;il urge de trouver des solutions pour sauver l'année scolaire car dit il , l'éxamen arrive à grands pas et aucune issue heureuse n'est envisagée. Aprés avoir délogé toutes les écoles et fait une marche pour alerter l'opinion nationale et internationale,rien n'a filtré de leur mécontentement.Et pourtant un mémorandum a été remis aux autorités pour transmettre à qui de droit .Et depuis lorsn,la rétention de nos notes et des bulletins de 1er semestre a fini par décourager bon nombre de potaches. Certains ont déserté les classes pour emprunter la voie de l'émigration clandestine .D'autres éléves nous appellent de la Libye ou ils élu domicile en attendant de poursuivre le voyage. Des absences notoires sont notées dans les classes . Malgré les sanctions de la surveillance , ils continuent de plus belle à fuir les cours.Face à cette situation,M.S demande au gouvernement d'étre plus entreprenant et de prendre la chicotte pour que l'année scolaire soit sauvée malgré le grignotement du quantum horaire. Dans tous les cas,a t il ajouté,nous adultes de demain,ne sommes pas du tout contents de la tournure des événements. Qu'ils se retrouvent autour d'une table pour discuter en toute franchise.Ce qui est faisable mérite d'étre fait et le reste prendre des engagements fermes pour les réaliser.Tout compte fait,le systéme éducatif sénégalais est rééllement confronté à de sérieuses difficultés et les éléves commencent à sentir les dangers qui les guettent si les syndicats d'enseignants persistent dans leur position.Au mois de Juin ;il est prévu les épreuves d'éducation physique et les anticipées de philosophie pour le Baccalauréat .Tout en espérant que les mots d'ordre des syndicats d'enseignants seront levés,les potaches croisent les doigts et attendent qu'une solution définitive soit trouvée.Les cas d'abandons dus aux mouvements d'humeurs sont fréquents dans les colléges et lycées du département.
Elhadji Lonka Sabaly
Elhadji Lonka Sabaly
« Diomaye ne peut pas arrêter les constructions sur le littoral » : Alioune Tine répond à Me Doudou Ndoye et Cie
