Mesdames et Messieurs, Sénégalais et Sénégalaises, chers journalistes !
En ce lieu solennel du temple du savoir, le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal (REVUS), en collaboration avec le Collectif des Enseignants Vacataires de l’UCAD (COLEV), vous a convié aujourd’hui à un point de presse pour alerter l’opinion nationale sur la situation et les conditions de travail des enseignants vacataires des universités publiques du Sénégal.
Au nom des camarades et collègues vacataires, permettez-moi dès l’entame de ce propos de rappeler que les enseignants vacataires ici présents constituent incontestablement la cheville ouvrière des universités du Sénégal :
– par leur effectif, les vacataires constituent plus de 70% des enseignants-chercheurs dans les universités publiques du Sénégal ;
– par leur travail, ils réalisent une bonne partie des enseignements au sein des universités par la prise en charge d’un nombre important de Cours Magistraux (CM), des Travaux Dirigés (TD) et/ou Travaux Pratiques (TP) sans parler de la correction des copies, des publications scientifiques dans des revues internationales, des surveillances d’examens ainsi que l’encadrement des étudiants de Licence, de Master mais également l’accompagnement des doctorants.
Quel paradoxe ! chers journalistes, ces vacataires ou encore enseignants non permanents des universités qui servent avec loyauté et efficacité doublée d’une rigueur rarement égalée à l’image de leurs collègues enseignants chercheurs permanents, malgré tous ces efforts et sacrifices, ne sont pas liés par le moindre contrat de travail.
Hélas ! Chers journalistes, le constat est regrettable, les enseignants vacataires des universités du Sénégal ne jouissent donc d’aucun statut et par conséquent, d’aucune reconnaissance.
Constitué, pour la plupart de docteurs, nous disons bien « docteurs en grade », le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal ne peut donc que déplorer de façon péremptoire et regrettable la totale précarité dans laquelle ils exercent leur si noble mission qu’est d’assurer la formation des cadres supérieurs du pays. Mesdames et messieurs, chers journalistes, nous nous permettrons simplement de rappeler les propos du Président Nelson Mandela qui disait « L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde ».
De plus, les syndicats de l’enseignement supérieur tels que le SAES, le SUDES, le REVUS entre autres ont constaté tous à l’issue de l’exploitation des données et rapports officiels les manquements suivants :
1- le déficit criard d’enseignants permanents dans les différentes universités du Sénégal selon la norme internationale de l’UNESCO qui est de 01 enseignant permanent pour 25 étudiants alors que selon le Rapport Annuel de Performance du MESRI (2020), l’université sénégalaise est à 01 Enseignant Permanent pour 50 étudiants. Autrement dit, l’université aurait besoin de doubler son effectif actuel d’enseignants chercheurs permanents, soit 2 403 nouveaux postes. Si on inclut l’effectif des enseignants vacataires, ce ratio passe à 01 enseignant pour 16 étudiants. Ce résultat confirme nettement le rôle fondamental des vacataires dans l’université sénégalaise ;
2- le niveau très faible des recrutements annuels depuis plusieurs années. L’Etat du Sénégal a instauré en 2019 un plan de recrutement annuel de 200 enseignants chercheurs pour contribuer à résorber le gap existant dans ce secteur, mais il a été malheureusement constaté que ce plan n’a pas été du tout exécuté comme prévu par les autorités en charge de cette question. ;
3- les départs à la retraite de beaucoup de professeurs titulaires ces dernières années, sans compter le fait que ce nombre va encore augmenter significativement dans les trois prochaines années.
4- les retards inacceptables dans les procédures de lancement des postes de remplacement alors que les lignes budgétaires existent déjà ;
5- les lenteurs insupportables des procédures de recrutement dans certains établissements ou départements ;
6- les augmentations significatives d’effectifs d’étudiants d’année en année.
Etc.
A ces nombreux problèmes qui alourdissent le contexte de notre manifestation, s’ajoute la volonté d’élargissement de la carte universitaire par l’Etat à travers la construction de nouvelles universités dans le Sénégal qui n’est aucunement suivie, de façon proportionnelle, par le renforcement des ressources humaines dont le recrutement d’enseignants chercheurs en est un élément principal. Par exemple, à l’Université du Sine Saloum El-hadj Ibrahima Niass où les vacataires représentent plus de 90% des enseignants ; ou bien à l’Université Amadou Makhtar Mbow où des UFR/Ecoles entières ne comptent que 2 à 3 enseignants permanents, justifient simplement la nécessité de recruter dans l’urgence.
Sénégalaises et sénégalais, chers journalistes, c’est pourquoi, loin d’un esprit de rapport de forces avec les autorités, loin d’une logique de sabotage de l’institution universitaire, le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal en parfaite synergie avec le Collectif des Enseignants Vacataires de l’UCAD exige dans les plus brefs délais l’ouverture de négociations pressantes avec les autorités compétentes en charge de l’Enseignement Supérieur au premier des chefs les recteurs d’universités, le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation et surtout, surtout, surtout son excellence M. Macky SALL, Président de la république pour discuter des points de revendication suivants :
➢le recrutement massif et sans délai d’enseignants-chercheurs en vue de combler le déficit noté dans les différentes universités mais surtout de répondre aux normes internationales ;
➢ la suppression de la limite d’âge fixée à 45 ans dans les critères de recrutement pour les enseignants chercheurs ;
➢ la revalorisation du taux horaire de loin en déphasage avec le coût de la vie ; ➢l’amélioration significative des conditions des enseignants vacataires des
universités du Sénégal à travers des mesures fortes et fermes ; ➢ entre autres.
ENSEIGNANTS VACATAIRES DES UNIVERSITES DU SENEGAL (REVUS) COLLECTIF DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE L’UCAD (COLEV)
Mesdames et Messieurs, Sénégalais et Sénégalaises, chers journalistes !
En ce lieu solennel du temple du savoir, le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal (REVUS), en collaboration avec le Collectif des Enseignants Vacataires de l’UCAD (COLEV), vous a convié aujourd’hui à un point de presse pour alerter l’opinion nationale sur la situation et les conditions de travail des enseignants vacataires des universités publiques du Sénégal.
Au nom des camarades et collègues vacataires, permettez-moi dès l’entame de ce propos de rappeler que les enseignants vacataires ici présents constituent incontestablement la cheville ouvrière des universités du Sénégal :
– par leur effectif, les vacataires constituent plus de 70% des enseignants-chercheurs dans les universités publiques du Sénégal ;
– par leur travail, ils réalisent une bonne partie des enseignements au sein des universités par la prise en charge d’un nombre important de Cours Magistraux (CM), des Travaux Dirigés (TD) et/ou Travaux Pratiques (TP) sans parler de la correction des copies, des publications scientifiques dans des revues internationales, des surveillances d’examens ainsi que l’encadrement des étudiants de Licence, de Master mais également l’accompagnement des doctorants.
Quel paradoxe ! chers journalistes, ces vacataires ou encore enseignants non permanents des universités qui servent avec loyauté et efficacité doublée d’une rigueur rarement égalée à l’image de leurs collègues enseignants chercheurs permanents, malgré tous ces efforts et sacrifices, ne sont pas liés par le moindre contrat de travail.
Hélas ! Chers journalistes, le constat est regrettable, les enseignants vacataires des universités du Sénégal ne jouissent donc d’aucun statut et par conséquent, d’aucune reconnaissance.
Constitué, pour la plupart de docteurs, nous disons bien « docteurs en grade », le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal ne peut donc que déplorer de façon péremptoire et regrettable la totale précarité dans laquelle ils exercent leur si noble mission qu’est d’assurer la formation des cadres supérieurs du pays. Mesdames et messieurs, chers journalistes, nous nous permettrons simplement de rappeler les propos du Président Nelson Mandela qui disait « L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde ».
De plus, les syndicats de l’enseignement supérieur tels que le SAES, le SUDES, le REVUS entre autres ont constaté tous à l’issue de l’exploitation des données et rapports officiels les manquements suivants :
1- le déficit criard d’enseignants permanents dans les différentes universités du Sénégal selon la norme internationale de l’UNESCO qui est de 01 enseignant permanent pour 25 étudiants alors que selon le Rapport Annuel de Performance du MESRI (2020), l’université sénégalaise est à 01 Enseignant Permanent pour 50 étudiants. Autrement dit, l’université aurait besoin de doubler son effectif actuel d’enseignants chercheurs permanents, soit 2 403 nouveaux postes. Si on inclut l’effectif des enseignants vacataires, ce ratio passe à 01 enseignant pour 16 étudiants. Ce résultat confirme nettement le rôle fondamental des vacataires dans l’université sénégalaise ;
2- le niveau très faible des recrutements annuels depuis plusieurs années. L’Etat du Sénégal a instauré en 2019 un plan de recrutement annuel de 200 enseignants chercheurs pour contribuer à résorber le gap existant dans ce secteur, mais il a été malheureusement constaté que ce plan n’a pas été du tout exécuté comme prévu par les autorités en charge de cette question. ;
3- les départs à la retraite de beaucoup de professeurs titulaires ces dernières années, sans compter le fait que ce nombre va encore augmenter significativement dans les trois prochaines années.
4- les retards inacceptables dans les procédures de lancement des postes de remplacement alors que les lignes budgétaires existent déjà ;
5- les lenteurs insupportables des procédures de recrutement dans certains établissements ou départements ;
6- les augmentations significatives d’effectifs d’étudiants d’année en année.
Etc.
A ces nombreux problèmes qui alourdissent le contexte de notre manifestation, s’ajoute la volonté d’élargissement de la carte universitaire par l’Etat à travers la construction de nouvelles universités dans le Sénégal qui n’est aucunement suivie, de façon proportionnelle, par le renforcement des ressources humaines dont le recrutement d’enseignants chercheurs en est un élément principal. Par exemple, à l’Université du Sine Saloum El-hadj Ibrahima Niass où les vacataires représentent plus de 90% des enseignants ; ou bien à l’Université Amadou Makhtar Mbow où des UFR/Ecoles entières ne comptent que 2 à 3 enseignants permanents, justifient simplement la nécessité de recruter dans l’urgence.
Sénégalaises et sénégalais, chers journalistes, c’est pourquoi, loin d’un esprit de rapport de forces avec les autorités, loin d’une logique de sabotage de l’institution universitaire, le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal en parfaite synergie avec le Collectif des Enseignants Vacataires de l’UCAD exige dans les plus brefs délais l’ouverture de négociations pressantes avec les autorités compétentes en charge de l’Enseignement Supérieur au premier des chefs les recteurs d’universités, le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation et surtout, surtout, surtout son excellence M. Macky SALL, Président de la république pour discuter des points de revendication suivants :
➢le recrutement massif et sans délai d’enseignants-chercheurs en vue de combler le déficit noté dans les différentes universités mais surtout de répondre aux normes internationales ;
➢ la suppression de la limite d’âge fixée à 45 ans dans les critères de recrutement pour les enseignants chercheurs ;
➢ la revalorisation du taux horaire de loin en déphasage avec le coût de la vie ; ➢l’amélioration significative des conditions des enseignants vacataires des
universités du Sénégal à travers des mesures fortes et fermes ; ➢ entre autres.
ENSEIGNANTS VACATAIRES DES UNIVERSITES DU SENEGAL (REVUS) COLLECTIF DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE L’UCAD (COLEV)
Mesdames et Messieurs, Sénégalais et Sénégalaises, chers journalistes !
En ce lieu solennel du temple du savoir, le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal (REVUS), en collaboration avec le Collectif des Enseignants Vacataires de l’UCAD (COLEV), vous a convié aujourd’hui à un point de presse pour alerter l’opinion nationale sur la situation et les conditions de travail des enseignants vacataires des universités publiques du Sénégal.
Au nom des camarades et collègues vacataires, permettez-moi dès l’entame de ce propos de rappeler que les enseignants vacataires ici présents constituent incontestablement la cheville ouvrière des universités du Sénégal :
– par leur effectif, les vacataires constituent plus de 70% des enseignants-chercheurs dans les universités publiques du Sénégal ;
– par leur travail, ils réalisent une bonne partie des enseignements au sein des universités par la prise en charge d’un nombre important de Cours Magistraux (CM), des Travaux Dirigés (TD) et/ou Travaux Pratiques (TP) sans parler de la correction des copies, des publications scientifiques dans des revues internationales, des surveillances d’examens ainsi que l’encadrement des étudiants de Licence, de Master mais également l’accompagnement des doctorants.
Quel paradoxe ! chers journalistes, ces vacataires ou encore enseignants non permanents des universités qui servent avec loyauté et efficacité doublée d’une rigueur rarement égalée à l’image de leurs collègues enseignants chercheurs permanents, malgré tous ces efforts et sacrifices, ne sont pas liés par le moindre contrat de travail.
Hélas ! Chers journalistes, le constat est regrettable, les enseignants vacataires des universités du Sénégal ne jouissent donc d’aucun statut et par conséquent, d’aucune reconnaissance.
Constitué, pour la plupart de docteurs, nous disons bien « docteurs en grade », le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal ne peut donc que déplorer de façon péremptoire et regrettable la totale précarité dans laquelle ils exercent leur si noble mission qu’est d’assurer la formation des cadres supérieurs du pays. Mesdames et messieurs, chers journalistes, nous nous permettrons simplement de rappeler les propos du Président Nelson Mandela qui disait « L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde ».
De plus, les syndicats de l’enseignement supérieur tels que le SAES, le SUDES, le REVUS entre autres ont constaté tous à l’issue de l’exploitation des données et rapports officiels les manquements suivants :
1- le déficit criard d’enseignants permanents dans les différentes universités du Sénégal selon la norme internationale de l’UNESCO qui est de 01 enseignant permanent pour 25 étudiants alors que selon le Rapport Annuel de Performance du MESRI (2020), l’université sénégalaise est à 01 Enseignant Permanent pour 50 étudiants. Autrement dit, l’université aurait besoin de doubler son effectif actuel d’enseignants chercheurs permanents, soit 2 403 nouveaux postes. Si on inclut l’effectif des enseignants vacataires, ce ratio passe à 01 enseignant pour 16 étudiants. Ce résultat confirme nettement le rôle fondamental des vacataires dans l’université sénégalaise ;
2- le niveau très faible des recrutements annuels depuis plusieurs années. L’Etat du Sénégal a instauré en 2019 un plan de recrutement annuel de 200 enseignants chercheurs pour contribuer à résorber le gap existant dans ce secteur, mais il a été malheureusement constaté que ce plan n’a pas été du tout exécuté comme prévu par les autorités en charge de cette question. ;
3- les départs à la retraite de beaucoup de professeurs titulaires ces dernières années, sans compter le fait que ce nombre va encore augmenter significativement dans les trois prochaines années.
4- les retards inacceptables dans les procédures de lancement des postes de remplacement alors que les lignes budgétaires existent déjà ;
5- les lenteurs insupportables des procédures de recrutement dans certains établissements ou départements ;
6- les augmentations significatives d’effectifs d’étudiants d’année en année.
Etc.
A ces nombreux problèmes qui alourdissent le contexte de notre manifestation, s’ajoute la volonté d’élargissement de la carte universitaire par l’Etat à travers la construction de nouvelles universités dans le Sénégal qui n’est aucunement suivie, de façon proportionnelle, par le renforcement des ressources humaines dont le recrutement d’enseignants chercheurs en est un élément principal. Par exemple, à l’Université du Sine Saloum El-hadj Ibrahima Niass où les vacataires représentent plus de 90% des enseignants ; ou bien à l’Université Amadou Makhtar Mbow où des UFR/Ecoles entières ne comptent que 2 à 3 enseignants permanents, justifient simplement la nécessité de recruter dans l’urgence.
Sénégalaises et sénégalais, chers journalistes, c’est pourquoi, loin d’un esprit de rapport de forces avec les autorités, loin d’une logique de sabotage de l’institution universitaire, le Rassemblement des Enseignants Vacataires des Universités du Sénégal en parfaite synergie avec le Collectif des Enseignants Vacataires de l’UCAD exige dans les plus brefs délais l’ouverture de négociations pressantes avec les autorités compétentes en charge de l’Enseignement Supérieur au premier des chefs les recteurs d’universités, le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation et surtout, surtout, surtout son excellence M. Macky SALL, Président de la république pour discuter des points de revendication suivants :
➢le recrutement massif et sans délai d’enseignants-chercheurs en vue de combler le déficit noté dans les différentes universités mais surtout de répondre aux normes internationales ;
➢ la suppression de la limite d’âge fixée à 45 ans dans les critères de recrutement pour les enseignants chercheurs ;
➢ la revalorisation du taux horaire de loin en déphasage avec le coût de la vie ; ➢l’amélioration significative des conditions des enseignants vacataires des
universités du Sénégal à travers des mesures fortes et fermes ; ➢ entre autres.
ENSEIGNANTS VACATAIRES DES UNIVERSITES DU SENEGAL (REVUS) COLLECTIF DES ENSEIGNANTS VACATAIRES DE L’UCAD (COLEV)
Universités publiques: les enseignants vacataires alertent l’opinion sur leurs conditions de travail
Mercredi 15 Mars 2023 - 12:39
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