La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO), Amnesty International/Sénégal (AI/SS) et la Ligue sénégalaise des droits de l'homme (LSDH) ont demandé ce vendredi au gouvernement bissau-guinéen de ne pas extrader les militaires gambiens arrêtés sur son territoire vers la Gambie. Ces soldats risquent d’être exécutés une fois en terre gambienne.
Dans un communiqué conjoint les trois ONG exhortent les autorités gambiennes à agir dans le respect des droits humains conformément à leurs engagements vis-à-vis des instruments juridiques internationaux et régionaux.
Après la tentative de coup d’Etat dans la nuit du 29 au 30 décembre, des civils et des militaires ont été arrêtés jeudi à Banjul. Par peur d'être arrêtés, quatre officiers soupçonnés d'avoir participé à la tentative ont quitté le pays pour se refugier en Guinée-Bissau.
Le président Jammeh a qualifié le putsch avorté contre son pouvoir d’attaque terroriste. Il a accusé des puissances étrangères d'avoir soutenu les auteurs du coup manqué.
Les trois Organisations non gouvernementales ( RADDHO, AI/S et la LSDH) disent être très préoccupées par la situation qui prévaut en ce moment en Gambie mais aussi elles réitèrent une ferme opposition à toute forme d’accession au pouvoir par des procédés anticonstitutionnels.
Ces ONG condamnent fermement les arrestations arbitraires en cours en Gambie du seul fait de la proximité avec les présumés auteurs des évènements susvisés et craignent une répression sans discernement dans une logique de terreur tous azimuts.
Dans un communiqué conjoint les trois ONG exhortent les autorités gambiennes à agir dans le respect des droits humains conformément à leurs engagements vis-à-vis des instruments juridiques internationaux et régionaux.
Après la tentative de coup d’Etat dans la nuit du 29 au 30 décembre, des civils et des militaires ont été arrêtés jeudi à Banjul. Par peur d'être arrêtés, quatre officiers soupçonnés d'avoir participé à la tentative ont quitté le pays pour se refugier en Guinée-Bissau.
Le président Jammeh a qualifié le putsch avorté contre son pouvoir d’attaque terroriste. Il a accusé des puissances étrangères d'avoir soutenu les auteurs du coup manqué.
Les trois Organisations non gouvernementales ( RADDHO, AI/S et la LSDH) disent être très préoccupées par la situation qui prévaut en ce moment en Gambie mais aussi elles réitèrent une ferme opposition à toute forme d’accession au pouvoir par des procédés anticonstitutionnels.
Ces ONG condamnent fermement les arrestations arbitraires en cours en Gambie du seul fait de la proximité avec les présumés auteurs des évènements susvisés et craignent une répression sans discernement dans une logique de terreur tous azimuts.







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