ousmane Sonko est sur le pied de guerre concernant ce qu’il considère comme la spoliation des ressources pétrolières et gazières du Sénégal. C’est dans ce sens qu’il a annoncé lors d’une conférence organisée ce week-end par les étudiants de son parti, la mise sur pied de plusieurs mesures pour rapatrier lesdits biens.
«Dans les semaines à venir, il y a des combats qui vont être menées. Personnellement, j’ai fini un ouvrage que je vais publier dans les jours à venir sur l’accaparement et le vol organisé de notre pétrole. Nous avons considéré que ce n’est pas encore perdu. Il faut mener le combat », a-t-il déclaré.
Et ce combat va se faire, selon l’ancien inspecteur des impôts et domaines avec le dépôt de plaintes notamment aux Etats-Unis, en Grande Bretagne, entre autres. Mais aussi, des courriers seront transmis à différents organismes internationaux avec qui le Sénégal a ratifié des traités pour lutter contre la fraude et la corruption.
A côté de ces actions à l’international, le président du parti Pastef fait savoir qu’une pétition sera proposé aux Sénégalais car : «c’est notre patrimoine qui a été bradée par un groupuscule de politiciens, il faut qu’on les récupère», martèle-t-il.
«Dans les semaines à venir, il y a des combats qui vont être menées. Personnellement, j’ai fini un ouvrage que je vais publier dans les jours à venir sur l’accaparement et le vol organisé de notre pétrole. Nous avons considéré que ce n’est pas encore perdu. Il faut mener le combat », a-t-il déclaré.
Et ce combat va se faire, selon l’ancien inspecteur des impôts et domaines avec le dépôt de plaintes notamment aux Etats-Unis, en Grande Bretagne, entre autres. Mais aussi, des courriers seront transmis à différents organismes internationaux avec qui le Sénégal a ratifié des traités pour lutter contre la fraude et la corruption.
A côté de ces actions à l’international, le président du parti Pastef fait savoir qu’une pétition sera proposé aux Sénégalais car : «c’est notre patrimoine qui a été bradée par un groupuscule de politiciens, il faut qu’on les récupère», martèle-t-il.