Depuis quelques temps, nous assistons avec impuissance à une recrudescence inouïe de la violence au Sénégal, pays, paradoxalement qu’on a toujours vanté les mérites sur le plan de la PAIX (SENEGAL, REWOUM JAMM LA !).
Et pourtant, notre société s’est souvent aventurée dans la violence sans s’en rendre compte ! Cette violence se manifeste par nos paroles, nos actes, nos révoltes ou encore nos pensées. Dès que l’on cherche à la contenir ou à la canaliser, elle resurgit ailleurs sous une autre forme. Aujourd’hui, elle est omniprésente : il suffit d’ouvrir le journal, l’internet, la radio ou la télévision pour le constater. Dans la rue, au travail, au sein de la famille, nous pouvons tous subir l’agressivité des autres, quand elle ne vient pas de nous-mêmes.
Ainsi, nous tenterons de la cerner en prenant comme exemples les deux cas de violences suivies de meurtres les plus récents et médiatisés :
Et maintenant comme nous avons toujours l’habitude de jouer « le Médecin après la mort », le débat sur la peine de mort est subitement soulevé pour essayer de tempérer les ardeurs.
Ainsi, n’arrive-t-il pas le moment de se poser la vraie question à savoir qui en est réellement le responsable ?
Moi, je dirais plutôt, la société sénégalaise, dans son intégralité pour n’avoir pas su sérieusement insister sur les notions de respect des règles de vie sociale, de discipline, de participation, de solidarité et de responsabilité à travers une bonne éducation inclusive sur les lois et les règles qui fondent une société.
« L’ordre et la règle, une fois établis et reconnus,
sont la plus forte des puissances » - Joseph Joubert
Elhadji Daniel SO
Homme Politique
Et pourtant, notre société s’est souvent aventurée dans la violence sans s’en rendre compte ! Cette violence se manifeste par nos paroles, nos actes, nos révoltes ou encore nos pensées. Dès que l’on cherche à la contenir ou à la canaliser, elle resurgit ailleurs sous une autre forme. Aujourd’hui, elle est omniprésente : il suffit d’ouvrir le journal, l’internet, la radio ou la télévision pour le constater. Dans la rue, au travail, au sein de la famille, nous pouvons tous subir l’agressivité des autres, quand elle ne vient pas de nous-mêmes.
Ainsi, nous tenterons de la cerner en prenant comme exemples les deux cas de violences suivies de meurtres les plus récents et médiatisés :
- Le meurtre du Taximan Ibrahima SAMB, survenu le 27 octobre passé ;
- Le meurtre de la vice-présidente du CESE, survenu le 19 Novembre courant ;
Et maintenant comme nous avons toujours l’habitude de jouer « le Médecin après la mort », le débat sur la peine de mort est subitement soulevé pour essayer de tempérer les ardeurs.
Ainsi, n’arrive-t-il pas le moment de se poser la vraie question à savoir qui en est réellement le responsable ?
Moi, je dirais plutôt, la société sénégalaise, dans son intégralité pour n’avoir pas su sérieusement insister sur les notions de respect des règles de vie sociale, de discipline, de participation, de solidarité et de responsabilité à travers une bonne éducation inclusive sur les lois et les règles qui fondent une société.
« L’ordre et la règle, une fois établis et reconnus,
sont la plus forte des puissances » - Joseph Joubert
Elhadji Daniel SO
Homme Politique