Cet épisode, informe L’As, marque le début de la fin de l’impunité pour les chefs d’Etat dont les magistères sont parsemés de sordides histoires de meurtres souvent passées sous silence.
Mais pour cela, il faudra que l’Etat gagne la bataille de la crédibilité, de l’impartialité et de l’équité ; terrain qui est loin d’être conquis en ce sens que l’ancien homme fort de N’djamena a décidé de se battre autrement. Il a promis de refuser de déférer à la convocation reçue.
Forcé, il entend s’emmurer dans le silence face au flot de questions des magistrats. Ses avocats « dessaisis », le juge aurait décidé de commettre des avocats d’office, pour celui que l’on a surnommé le boucher de N’Djamena au cas où il persiste dans son refus de jouer sa partition. Des robes noires qui ont été approchées à cette fin sont encore dans un dilemme cornélien.







Sangalkam : 5 membres d’un gang armé, arrêtés pour vol de bétail
