Du nouveau dans l’affaire des pèlerins laissés en rade à Dakar lors du dernier Haj. En effet, intervenant, hier, sur la Rfm, le tout nouveau Délégué général au pèlerinage à la Mecque, le Pr Abdoul Aziz Kébé a annoncé que leur indemnisation a déjà commencé.
Selon lui, certains parmi eux ont émis le désir de reprendre le pèlerinage et ils vont s’inscrire pour l’édition 2016. Par contre, d’autres ont demandé à être remboursés et ils sont en train d’être remboursés. « Il y en a même qui ont déjà obtenu leur remboursement. Je ne peux pas dire le nombre actuellement, mais c’est une réalité », a informé le Délégué général, selon qui, « le problème est en voie d’être résolu définitivement ». Concernant les voyagistes privés, dont certains ont totalement failli l’année dernière à leurs engagements, par rapport au cahier de charges, force est de dire qu’ils risquent gros. Car des sanctions qui peuvent aller jusqu’au retrait de l’agrément les guettent. « Ceux qui, l’année dernière, avaient enfreint les lois sénégalaises doivent subir les sanctions prévues par nos lois », a prévenu le Pr Kébé. Mais ça, dit-il, « c’est le rôle de l’Etat. C’est à l’Etat et à ses démembrements qui sont concernés de le faire. Parce que les voyagistes ont un rapport avec l’organisation du pèlerinage, ils ont un rapport avec la Délégation général ». En tant que voyagistes, estime-t-il, « ils ont aussi des rapports avec d’autres départements ministériels qui doivent voir comment les attraire devant les tribunaux ou encore comment leur faire subir les sanctions idoines par rapport aux fautes qui ont été commises ».
Selon lui, certains parmi eux ont émis le désir de reprendre le pèlerinage et ils vont s’inscrire pour l’édition 2016. Par contre, d’autres ont demandé à être remboursés et ils sont en train d’être remboursés. « Il y en a même qui ont déjà obtenu leur remboursement. Je ne peux pas dire le nombre actuellement, mais c’est une réalité », a informé le Délégué général, selon qui, « le problème est en voie d’être résolu définitivement ». Concernant les voyagistes privés, dont certains ont totalement failli l’année dernière à leurs engagements, par rapport au cahier de charges, force est de dire qu’ils risquent gros. Car des sanctions qui peuvent aller jusqu’au retrait de l’agrément les guettent. « Ceux qui, l’année dernière, avaient enfreint les lois sénégalaises doivent subir les sanctions prévues par nos lois », a prévenu le Pr Kébé. Mais ça, dit-il, « c’est le rôle de l’Etat. C’est à l’Etat et à ses démembrements qui sont concernés de le faire. Parce que les voyagistes ont un rapport avec l’organisation du pèlerinage, ils ont un rapport avec la Délégation général ». En tant que voyagistes, estime-t-il, « ils ont aussi des rapports avec d’autres départements ministériels qui doivent voir comment les attraire devant les tribunaux ou encore comment leur faire subir les sanctions idoines par rapport aux fautes qui ont été commises ».