Le cadre de concertation des cadres ruraux a tenu un point de presse ce mardi 01 mars pour se prononcer sur les questions de la réforme foncière et de la campagne arachidiére.Mais, il était question aussi de la perte des ruminants à cause de la forte pluviométrie dans la région.
Abdoul Aziz Badji producteur et responsable de la délégation qui sillonne la zone sud, de préciser sur la réforme « nous voulons que la réforme soit transparente, inclusive et participative » dans un engagement républicain.
Revenant sur les pertes de l’agriculture fluviale, M. Badji d’ajouter « la forte pluviométrie à causer d’énormes dégâts au niveau des cultures de mais, de coton et surtout décimer beaucoup de ruminants » souligne-t-il.
S’il y’a réforme, poursuit-il, « nous devons être pris en compte par l’état car ce sont les paysans qui agissent sur la terre d’où la nécessité de revoir ce code foncier » estime-t-il.
Aujourd’hui, il y’a une grande quantité d’arachides stockées dans les villages car les paysans pensaient que les chinois viendraient acheter leur production à un meilleur prix, selon lui toujours.
D’après ce bilan peu reluisant dressé par M. Badji, de préciser d’ici peu Kolda sera en situation d’insécurité alimentaire « nous allons assister bientôt à un risque de famine crée par l’insuffisance de rendement agricole et ces populations auront besoin de l’aide de l’état pour se nourrir » se désole-t-il.
C’est pourquoi, M. Badji estime qu’il est urgent aujourd’hui de redessiner la carte de la réforme agrosylvopastorale pour le bien être des paysans.
Abordant la question de la création des chambres d’agriculture qui vient à point nommer, réaffirme-t-il, « nous nous félicitons de cette initiative mais ce qui serait meilleur c’est d’associer les paysans » dans un engagement citoyen « nous voulons que les paysans soient au cœur de l’élaboration du règlement intérieur des chambres d’agriculture », prône-t-il.
Amadou Mahmoud Diallo
Abdoul Aziz Badji producteur et responsable de la délégation qui sillonne la zone sud, de préciser sur la réforme « nous voulons que la réforme soit transparente, inclusive et participative » dans un engagement républicain.
Revenant sur les pertes de l’agriculture fluviale, M. Badji d’ajouter « la forte pluviométrie à causer d’énormes dégâts au niveau des cultures de mais, de coton et surtout décimer beaucoup de ruminants » souligne-t-il.
S’il y’a réforme, poursuit-il, « nous devons être pris en compte par l’état car ce sont les paysans qui agissent sur la terre d’où la nécessité de revoir ce code foncier » estime-t-il.
Aujourd’hui, il y’a une grande quantité d’arachides stockées dans les villages car les paysans pensaient que les chinois viendraient acheter leur production à un meilleur prix, selon lui toujours.
D’après ce bilan peu reluisant dressé par M. Badji, de préciser d’ici peu Kolda sera en situation d’insécurité alimentaire « nous allons assister bientôt à un risque de famine crée par l’insuffisance de rendement agricole et ces populations auront besoin de l’aide de l’état pour se nourrir » se désole-t-il.
C’est pourquoi, M. Badji estime qu’il est urgent aujourd’hui de redessiner la carte de la réforme agrosylvopastorale pour le bien être des paysans.
Abordant la question de la création des chambres d’agriculture qui vient à point nommer, réaffirme-t-il, « nous nous félicitons de cette initiative mais ce qui serait meilleur c’est d’associer les paysans » dans un engagement citoyen « nous voulons que les paysans soient au cœur de l’élaboration du règlement intérieur des chambres d’agriculture », prône-t-il.
Amadou Mahmoud Diallo








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