Aux côtés de Me Ousmane Sèye et Adama Faye, elle règle ses comptes avec le candidat de Taxawu ndakaru, Khalifa Sall. «Il y a des gens qui veulent faire de Grand-Yoff un escalier pour accéder à la mairie de Dakar. N’acceptez jamais cela ! Ces gens ont grandement contribué à l’état désastreux que vit Grand-Yoff aujourd’hui.»
Pour triompher à Grand-Yoff, plus de 500 jeunes ont été formés pour sillonner les maisons de la commune afin de présenter le programme de la candidate de Bby. «Soyez disciplinés, ne cédez pas à la provocation, pas de violence. Nous sommes sûrs de notre victoire», leur lance-t-elle.
«On ne va jamais accepter qu’un groupuscule d’étudiants manipulés par des politiciens sème la violence»
Enfin, sur la recrudescence de la violence à l’Ucad, le Premier ministre Aminata Touré a embouché la même trompette que le ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo. «Que les étudiants qui veulent travailler retournent à l’université. Une chose est sûre, la sécurité va demeurer et on ne va jamais accepter qu’un groupuscule d’étudiants manipulés par des politiciens sème la violence dans ce temple du savoir. En 1988, on était tous là et c’était comme ça. Mais on ne l’acceptera pas. L’ordre et la discipline vont régner», ajoute le Premier ministre qui appelle, toutefois, les étudiants à la table des négociations et rappelle que «l’Etat paye 40 milliards de bourses aux étudiants».
Le Quotidien
Pour triompher à Grand-Yoff, plus de 500 jeunes ont été formés pour sillonner les maisons de la commune afin de présenter le programme de la candidate de Bby. «Soyez disciplinés, ne cédez pas à la provocation, pas de violence. Nous sommes sûrs de notre victoire», leur lance-t-elle.
«On ne va jamais accepter qu’un groupuscule d’étudiants manipulés par des politiciens sème la violence»
Enfin, sur la recrudescence de la violence à l’Ucad, le Premier ministre Aminata Touré a embouché la même trompette que le ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo. «Que les étudiants qui veulent travailler retournent à l’université. Une chose est sûre, la sécurité va demeurer et on ne va jamais accepter qu’un groupuscule d’étudiants manipulés par des politiciens sème la violence dans ce temple du savoir. En 1988, on était tous là et c’était comme ça. Mais on ne l’acceptera pas. L’ordre et la discipline vont régner», ajoute le Premier ministre qui appelle, toutefois, les étudiants à la table des négociations et rappelle que «l’Etat paye 40 milliards de bourses aux étudiants».
Le Quotidien