L’ancien chef de l’Etat y parle de l’intervention française au Mali ; il parle aussi de la Côte d’ivoire avec le renversement de Laurent Gbagbo et l’installation d’Alassane Ouattara à la tête de l’Etat. «Il y a eu une improvisation sur le Mali et la Centrafrique. Je ne dis pas qu’il ne fallait pas intervenir, mais je n’ai toujours pas compris ce qu’on allait y faire. Le Mali, c’est du désert, des montagnes et des grottes», constate Nicolas Sarkozy. «Quand je vois le soin que j’ai mis à intervenir en Côte d’Ivoire… On a sorti Laurent Gbagbo, on a installé Alassane Ouattara, sans aucune polémique, sans rien», admet Nicolas Sarkozy qui avait, sous son magistère, déclaré lui-même la mort de la françafrique.







Comptes publics : Abdou Diouf aussi "avait maquillé les chiffres"
