
« Le président Diouf avait pourtant sommé le gouverneur Mbagnick Ndiaye, de me donner une des maisons fermées de la ville en 1999. Mais deux jours après le changement de régime, le gouverneur m’a appelé pour me demander de sortir mes bagages », geint Marie Madeleine Diallo qui est convaincue que le président Wade n’a rien à voir dans cette décision. Mais cela ne l’empêche pas de continuer de rouspéter. « Et pourtant, j’ai vu des gens qui n’ont rien fait pour la ville et à qui l’on a donné une maison », dénonce la comédienne qui s’apitoie sur son sort. Celui de son mari la préoccupe au plus au point. Ce dernier est frappé par deux AVC et selon sa femme, il doit être hospitalisé ce lundi à Dakar. Mais les moyens font défaut.