« Je ne suis pas un modèle de réussite mais plutôt une réussite modèle » c’est l’avis de l’adjoint du préfet qui retrace à cœur ouvert son parcours pour les jeunes. Cet ancien enseignant devenu aujourd’hui préfet de l’administration territoriale a du persévérer beaucoup dans la vie.
Ce bout de bois de Dieu qui a vu le jour le 26 novembre 1970 à Dakar à l’usine ben tally. Puis entré à l’école en 1977 à Pikine avant d’obtenir son baccalauréat en 1992 au lycée Limamoulaye.Il réussit à la même année au concours de l’EFI (école de formations des instituteurs).Cette réussite le conduira à l’EFI de Kolda où il passera deux années avant d’être affecté dans un petit village du Saloum avec les rigueurs du monde rural.
Ensuite entré à l’ENA en 2003 puis affecté comme secrétaire au CNEPS de Thiès avant de rejoindre Thiès-sud comme adjoint du préfet.
La vie est un long processus de sacrifice, précise-t-il « nous devons toujours avoir l’abnégation dans les études et de croire en nos possibilités. Je pense que les jeunes doivent se focaliser dans les études uniquement et éviter de verser dans la facilité » soutient-il.
En ce sens, avance-t-il, la vie ne fait pas de cadeaux car tout s’obtient avec sérieux dans le travail « j’ai du travailler dur et ceci doit inciter tout individu jeune à partir de rien pour réussir dans la vie » souligne-t
Cet homme qui a embrasé le métier d’enseignant par amour a vu un de ses vœux exaucés car il voulait devenir journaliste, avocat ou enseignant.
Aujourd’hui, il est marié et paire de quatre enfants qui vivent tous à Kolda « je ne suis pas koldois mais Kolda m’a adopté » confie-t-il.
Abordant, la question de l’emploi, M. N’diaye de souligner que les jeunes font des mauvais choix. Je pense qu’il y’a du boulot et les jeunes doivent choisir la bonne formation professionnelle adéquate pour le marché de l’emploi.
Les plus beaux moments de sa vie, dit-il, sont ceux passés avec les enfants notamment les élèves avant d’ajouter « chacun doit persévérer dans la vie sans baisser les bras voire lutter perpétuellement pour sa réussite» conclut-t-il.
Amadou Mahmoud Diallo
Ce bout de bois de Dieu qui a vu le jour le 26 novembre 1970 à Dakar à l’usine ben tally. Puis entré à l’école en 1977 à Pikine avant d’obtenir son baccalauréat en 1992 au lycée Limamoulaye.Il réussit à la même année au concours de l’EFI (école de formations des instituteurs).Cette réussite le conduira à l’EFI de Kolda où il passera deux années avant d’être affecté dans un petit village du Saloum avec les rigueurs du monde rural.
Ensuite entré à l’ENA en 2003 puis affecté comme secrétaire au CNEPS de Thiès avant de rejoindre Thiès-sud comme adjoint du préfet.
La vie est un long processus de sacrifice, précise-t-il « nous devons toujours avoir l’abnégation dans les études et de croire en nos possibilités. Je pense que les jeunes doivent se focaliser dans les études uniquement et éviter de verser dans la facilité » soutient-il.
En ce sens, avance-t-il, la vie ne fait pas de cadeaux car tout s’obtient avec sérieux dans le travail « j’ai du travailler dur et ceci doit inciter tout individu jeune à partir de rien pour réussir dans la vie » souligne-t
Cet homme qui a embrasé le métier d’enseignant par amour a vu un de ses vœux exaucés car il voulait devenir journaliste, avocat ou enseignant.
Aujourd’hui, il est marié et paire de quatre enfants qui vivent tous à Kolda « je ne suis pas koldois mais Kolda m’a adopté » confie-t-il.
Abordant, la question de l’emploi, M. N’diaye de souligner que les jeunes font des mauvais choix. Je pense qu’il y’a du boulot et les jeunes doivent choisir la bonne formation professionnelle adéquate pour le marché de l’emploi.
Les plus beaux moments de sa vie, dit-il, sont ceux passés avec les enfants notamment les élèves avant d’ajouter « chacun doit persévérer dans la vie sans baisser les bras voire lutter perpétuellement pour sa réussite» conclut-t-il.
Amadou Mahmoud Diallo
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