Dans un contexte de crise mondiale consécutive à la COVID 19 puis à la guerre en Ukraine et au moment où dans beaucoup de pays, les élites se concentrent sur des idées de relance et de progrès, au Sénégal, le débat politique est à son plus bas niveau. Intellectuels, politiciens, société civile ont sciemment pris les Sénégalais en otage pour leurs propres intérêts. Leur discours est axé sur les élections qu’ils ont élevées au premier rang des priorités au nom d’une démocratie de pagaille.
Ces gens ignorent royalement les postulats de la transformation et s’arcboutent aux théories de la justification. Et après chaque élection, au lieu de se concentrer sur le travail, on pense à la prochaine. Et c’est la même musique qui continue encore sa funeste mélodie sur le fichier, le parrainage, le vote, etc. Et ça jusqu’à quand ?
Cette année, c’est encore pire car la polémique est née d’une erreur reconnue auparavant par les fautifs avant de se rétracter comme de vraies girouettes et se dresser en pyromanes prêts à mettre le feu sur des citoyens et leurs biens.
Ils ont reculé de leur projet de s’imposer par tous les moyens, envers et contre tout, et surtout au mépris des lois de la République par ce que Force est restée à la Loi.
Ces luttes de positions ont infesté l’arène politique d’ignorants et de gens au profil psychologique très lourd avec l’insulte à la bouche. D’ailleurs le parrain de cette gangrène politicienne, Ousmane Sonko, ne s’active que pour installer un chaos qui empêchera la tenue du procès devant l’opposer à la jeune Adji Sarr. Et l’opinion nationale doit retenir que Sonko est tellement hanté par le tribunal qu’il n’écarte pas l’option de s’enfuir comme Salif Sadio et César Atoute Badiane, si malgré tout, le juge décidait d’ouvrir le procès.
C’est en face de cet ensauvagement de la vie politique que le Groupe des Alliés de la Première Heure (GRAPHE) envisage de changer le débat. Car nous considérons que la grande querelle doit se situer sur cette vision innovatrice et transgénérationnelle qui ambitionne d’inscrire le Sénégal au cercle des pays émergents à l’horizon 2035.
Oui, nous voulons désormais des débats de programmes où nul n’entrera s’il n’est géomètre. Et le khalife général Sérigne Ababacar Sy Mansour agacé semble-t-il par ces comportements, disait tout récemment que nos seuls ennemis sont l’ignorance et la pauvreté.
Nous allons désormais orienter notre communication sur les nombreuses réalisations du Président Macky Sall à travers le PSE, le PUDC, le PROMOVILLE, le PUMA, le PAP2A, la Bourse Familiale, la CMU et tant d’autres qui ont soulagé les populations et transformé le visage du Sénégal.
A cela, il convient de rappeler pour la magnifier l’initiative prise par le Chef de l’Etat, Président en exercice de l’Union Africaine, auprès des autorités russes pour le déblocage des céréales en Ukraine afin de sauver le monde d’une famine certaine.
C’est sa sagesse et son non-alignement qui renforcent son leadership éclairé et ont rendu possible cette posture dont le monde a besoin pour continuer sa marche historique vers le progrès.
Voilà le vrai débat, utile et civilisé. Qu’on ne nous convoque plus à la polémique stérile.
Thiès, le 3 juillet 2022
Ces gens ignorent royalement les postulats de la transformation et s’arcboutent aux théories de la justification. Et après chaque élection, au lieu de se concentrer sur le travail, on pense à la prochaine. Et c’est la même musique qui continue encore sa funeste mélodie sur le fichier, le parrainage, le vote, etc. Et ça jusqu’à quand ?
Cette année, c’est encore pire car la polémique est née d’une erreur reconnue auparavant par les fautifs avant de se rétracter comme de vraies girouettes et se dresser en pyromanes prêts à mettre le feu sur des citoyens et leurs biens.
Ils ont reculé de leur projet de s’imposer par tous les moyens, envers et contre tout, et surtout au mépris des lois de la République par ce que Force est restée à la Loi.
Ces luttes de positions ont infesté l’arène politique d’ignorants et de gens au profil psychologique très lourd avec l’insulte à la bouche. D’ailleurs le parrain de cette gangrène politicienne, Ousmane Sonko, ne s’active que pour installer un chaos qui empêchera la tenue du procès devant l’opposer à la jeune Adji Sarr. Et l’opinion nationale doit retenir que Sonko est tellement hanté par le tribunal qu’il n’écarte pas l’option de s’enfuir comme Salif Sadio et César Atoute Badiane, si malgré tout, le juge décidait d’ouvrir le procès.
C’est en face de cet ensauvagement de la vie politique que le Groupe des Alliés de la Première Heure (GRAPHE) envisage de changer le débat. Car nous considérons que la grande querelle doit se situer sur cette vision innovatrice et transgénérationnelle qui ambitionne d’inscrire le Sénégal au cercle des pays émergents à l’horizon 2035.
Oui, nous voulons désormais des débats de programmes où nul n’entrera s’il n’est géomètre. Et le khalife général Sérigne Ababacar Sy Mansour agacé semble-t-il par ces comportements, disait tout récemment que nos seuls ennemis sont l’ignorance et la pauvreté.
Nous allons désormais orienter notre communication sur les nombreuses réalisations du Président Macky Sall à travers le PSE, le PUDC, le PROMOVILLE, le PUMA, le PAP2A, la Bourse Familiale, la CMU et tant d’autres qui ont soulagé les populations et transformé le visage du Sénégal.
A cela, il convient de rappeler pour la magnifier l’initiative prise par le Chef de l’Etat, Président en exercice de l’Union Africaine, auprès des autorités russes pour le déblocage des céréales en Ukraine afin de sauver le monde d’une famine certaine.
C’est sa sagesse et son non-alignement qui renforcent son leadership éclairé et ont rendu possible cette posture dont le monde a besoin pour continuer sa marche historique vers le progrès.
Voilà le vrai débat, utile et civilisé. Qu’on ne nous convoque plus à la polémique stérile.
Thiès, le 3 juillet 2022