l'ancien Premier ministre Idrissa SECK a honoré de sa présence la « foire aux problèmes » initiée à la place de l'obélisque par le mouvement « y en a marre ». Il a procédé à la visite des stands du « Louma Jaffé-Jaffé yi ». Le Maire de Thiès a soutenu que " sa présence à cette foire aux problèmes et aux solutions lui à permis de faire une mise à jour de ses informations sur les problèmes des Sénégalais et sur les des solutions aussi, car le peuple est une source de créativité et de solutions ».
Le chef de file du partie « Rewmi » en a profité pour jeter ses pavés dans la mare. « Le devoir d'un dirigeant, actuel comme futur, c'est de s'intéresser à la commande citoyenne ; avant de diriger, il faut savoir ce que les Sénégalais vous demandent. Ce que j'ai constaté, c'est que les problèmes s'articulent autour de questions connues qui ont d'ailleurs fait l'objet de propositions assez avancées », lance Idrissa Seck.
Il s'est aussi exprimé sur les problèmes financiers que traversent le Sénégal, notamment les promesses de milliards de Macky Sall face à ses moins-values budgétaires. Il a laissé à qui veut l'entendre que cette avalanche de milliards attendue n'est pas pour demain. « Vous croyez qu'avec les crises en Afrique centrale, l'Ukraine, la France qui doit moderniser son armée...les partenaires vont venir injecter près de 5000 milliards FCFA... ? » a-t-il demandé, à la limite, on peut toujours exaspérer a mis en garde Idi.
nextafrique
Le chef de file du partie « Rewmi » en a profité pour jeter ses pavés dans la mare. « Le devoir d'un dirigeant, actuel comme futur, c'est de s'intéresser à la commande citoyenne ; avant de diriger, il faut savoir ce que les Sénégalais vous demandent. Ce que j'ai constaté, c'est que les problèmes s'articulent autour de questions connues qui ont d'ailleurs fait l'objet de propositions assez avancées », lance Idrissa Seck.
Il s'est aussi exprimé sur les problèmes financiers que traversent le Sénégal, notamment les promesses de milliards de Macky Sall face à ses moins-values budgétaires. Il a laissé à qui veut l'entendre que cette avalanche de milliards attendue n'est pas pour demain. « Vous croyez qu'avec les crises en Afrique centrale, l'Ukraine, la France qui doit moderniser son armée...les partenaires vont venir injecter près de 5000 milliards FCFA... ? » a-t-il demandé, à la limite, on peut toujours exaspérer a mis en garde Idi.
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