SETAL.NET-Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche,
Mesdames, Messieurs les Ministres,
Honorables Députés et membres du Conseil Economique, Social et Environnemental,
Mesdames, Messieurs les membres du Corps diplomatique,
Autorités administratives, académiques, religieuses et coutumières,
Chers représentants du Mouvement syndical et autres partenaires sociaux,
Chers étudiants, étudiantes et élèves,
Distingués invités,
Avec la cérémonie qui nous réunit ce jour, pour procéder au lancement des travaux de la deuxième Université de Dakar, UNIDAK II, le Pôle urbain de Diamniadio se pare désormais de ses habits de lumière.
Je veux parler de la lumière du savoir et du savoir faire qui éclaire la pensée et l’action.
C’est une étape importante de la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent que nous franchissons aujourd’hui en investissant dans la formation de notre jeunesse, qui porte nos espoirs pour un Sénégal de progrès, un Sénégal meilleur pour tous.
En effet, il ne peut y avoir d’émergence sans le fil conducteur du savoir et du savoir faire qui transmet les connaissances et les compétences requises, pour des ressources humaines de qualité, aptes à soutenir le processus de développement économique et social de notre pays.
Voilà tout le sens de la stratégie du PSE en matière d’éducation et de formation.
L’UNIDAK II est le premier maillon d’un programme national d’infrastructures universitaires qui matérialisent une des conclusions majeures de la Concertation nationale sur l’Avenir de l’Enseignement supérieur.
Nous avons mobilisé 65 milliards de fcfa pour le financement de ce projet d’envergure, conçu pour accueillir 30 000 étudiants.
A l’issue d’un appel d’offres international, un consortium dirigé par l’entreprise turque Yildirim a été sélectionné pour réaliser le projet avec la participation d’entreprises sénégalaises.
Outre les Services administratifs, l’UNIDAK II comprend trois pôles : notamment un pôle Sciences économiques, sociales et de Gestion, un pôle Sciences de la santé et un pôle Sciences et Technologies.
Dans son contenu pédagogique, cette Université d’excellence mettra l’accent sur une approche professionnelle des enseignements, soucieuse de l’adéquation entre la formation et l’emploi.
Elle devra, en même temps, assurer un haut niveau de recherche pour contribuer à la constitution du patrimoine scientifique de notre pays.
Suivant l’expérience acquise avec la construction du Centre international de Conférences Abdou Diouf, l’UNIDAK II sera réalisée en vitesse accélérée, pour être livrée dans 24 mois, de manière à accueillir ses premiers étudiants à la rentrée 2016-2017.
Voilà pourquoi nous avons invité à cette cérémonie des élèves des classes première, qui seront les pionniers de l’Etablissement. C’est dire qu’avec ces jeunes témoins ici présents, les constructeurs du projet sont avertis sur le nécessaire respect des délais !
Mesdames et Messieurs,
D’autres projets s’ajouteront à l’UNIDAK II pour constituer la « Cité du savoir » du Pôle urbain de Diamniadio, notamment :
En février prochain, nous procéderons à la pose de la première pierre de l’Université du Sine Saloum de Kaolack, qui comprendra cinq campus : Kaolack, Fatick, Kaffrine, Diourbel et Toubacouta, pour une capacité d’accueil de 30 000 étudiants.
Ce projet sera suivi d’autres, à l’instar de l’Université du Sénégal oriental de Tambacounda, d’un réseau de 14 Espaces numériques ouverts et d’Instituts d’Enseignement supérieur à Thiès, Matam, Bignona et Richard Toll.
De même, l’interconnexion des Universités est à présent achevée. Le projet « Un étudiant, un ordinateur» se poursuit. Grâce au partenariat avec les opérateurs de téléphonie, les étudiants pourront disposer d’une connexion Internet mensuelle d’un montant de 2000 fcfa.
Ce sont là quelques indicateurs non exhaustifs de l’ambition forte que je nourris pour l’Enseignement supérieur de notre pays.
Au total, en deux ans, le Gouvernement investira plus de 300 milliards de francs fcfa dans la construction, l’équipement et la réhabilitation des infrastructures universitaires. Cet effort traduit un pari optimiste que nous faisons pour une jeunesse sénégalaise bien formée, compétente et prête à assumer ses responsabilités futures dans un monde de compétition effrénée, un monde dominé par les paradigmes de la vitesse et de l’économie du savoir.
Et c’est dans cet esprit que j’ai convié à cette cérémonie, comme invités d’honneur, les 34 nouveaux agrégés en médecine de l’Université de Dakar au dernier concours du CAMES. Ils étaient 35 candidats au départ.
Par leurs brillants résultats, ces compatriotes ici présents témoignent de ce que notre Enseignement supérieur peut générer de meilleur, à force de travail et d’abnégation dans l’effort.
Chers élèves, chers étudiants, j’ai tenu à inviter ces nouveaux agrégés non seulement pour leur dire notre fierté, mais surtout pour qu’ils vous inspirent et vous servent d’exemple. Leur parcours n’a pas été de tout repos. Ils ont tous travaillé dur et surmonté des obstacles pour mériter l’ultime parchemin universitaire.
Je souhaite que leur réussite vous serve de leçon et vous rappelle que tout ne peut être facile sur le chemin de la quête du savoir, mais que le succès est toujours au bout de l’effort. Et demain, il vous appartiendra de tenir haut le flambeau pour éclairer la voie du futur.
C’est sur ce message d’espoir que je voudrais conclure en vous donnant rendez vous dans 22 mois pour l’inauguration de l’UNIDAK II.
Je vous remercie de votre aimable attention.
Monsieur le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche,
Mesdames, Messieurs les Ministres,
Honorables Députés et membres du Conseil Economique, Social et Environnemental,
Mesdames, Messieurs les membres du Corps diplomatique,
Autorités administratives, académiques, religieuses et coutumières,
Chers représentants du Mouvement syndical et autres partenaires sociaux,
Chers étudiants, étudiantes et élèves,
Distingués invités,
Avec la cérémonie qui nous réunit ce jour, pour procéder au lancement des travaux de la deuxième Université de Dakar, UNIDAK II, le Pôle urbain de Diamniadio se pare désormais de ses habits de lumière.
Je veux parler de la lumière du savoir et du savoir faire qui éclaire la pensée et l’action.
C’est une étape importante de la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent que nous franchissons aujourd’hui en investissant dans la formation de notre jeunesse, qui porte nos espoirs pour un Sénégal de progrès, un Sénégal meilleur pour tous.
En effet, il ne peut y avoir d’émergence sans le fil conducteur du savoir et du savoir faire qui transmet les connaissances et les compétences requises, pour des ressources humaines de qualité, aptes à soutenir le processus de développement économique et social de notre pays.
Voilà tout le sens de la stratégie du PSE en matière d’éducation et de formation.
L’UNIDAK II est le premier maillon d’un programme national d’infrastructures universitaires qui matérialisent une des conclusions majeures de la Concertation nationale sur l’Avenir de l’Enseignement supérieur.
Nous avons mobilisé 65 milliards de fcfa pour le financement de ce projet d’envergure, conçu pour accueillir 30 000 étudiants.
A l’issue d’un appel d’offres international, un consortium dirigé par l’entreprise turque Yildirim a été sélectionné pour réaliser le projet avec la participation d’entreprises sénégalaises.
Outre les Services administratifs, l’UNIDAK II comprend trois pôles : notamment un pôle Sciences économiques, sociales et de Gestion, un pôle Sciences de la santé et un pôle Sciences et Technologies.
Dans son contenu pédagogique, cette Université d’excellence mettra l’accent sur une approche professionnelle des enseignements, soucieuse de l’adéquation entre la formation et l’emploi.
Elle devra, en même temps, assurer un haut niveau de recherche pour contribuer à la constitution du patrimoine scientifique de notre pays.
Suivant l’expérience acquise avec la construction du Centre international de Conférences Abdou Diouf, l’UNIDAK II sera réalisée en vitesse accélérée, pour être livrée dans 24 mois, de manière à accueillir ses premiers étudiants à la rentrée 2016-2017.
Voilà pourquoi nous avons invité à cette cérémonie des élèves des classes première, qui seront les pionniers de l’Etablissement. C’est dire qu’avec ces jeunes témoins ici présents, les constructeurs du projet sont avertis sur le nécessaire respect des délais !
Mesdames et Messieurs,
D’autres projets s’ajouteront à l’UNIDAK II pour constituer la « Cité du savoir » du Pôle urbain de Diamniadio, notamment :
- le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ;
- la Plateforme d’Appui technique à la Recherche et l’Innovation pour l’Emergence (PATRIE) ;
- l’Institut supérieur d’Enseignement professionnel ;
- le siège de l’Université virtuelle du Sénégal ;
- une bibliothèque ;
- un Centre informatique ;
- un planétarium et un mini observatoire astronomique.
En février prochain, nous procéderons à la pose de la première pierre de l’Université du Sine Saloum de Kaolack, qui comprendra cinq campus : Kaolack, Fatick, Kaffrine, Diourbel et Toubacouta, pour une capacité d’accueil de 30 000 étudiants.
Ce projet sera suivi d’autres, à l’instar de l’Université du Sénégal oriental de Tambacounda, d’un réseau de 14 Espaces numériques ouverts et d’Instituts d’Enseignement supérieur à Thiès, Matam, Bignona et Richard Toll.
De même, l’interconnexion des Universités est à présent achevée. Le projet « Un étudiant, un ordinateur» se poursuit. Grâce au partenariat avec les opérateurs de téléphonie, les étudiants pourront disposer d’une connexion Internet mensuelle d’un montant de 2000 fcfa.
Ce sont là quelques indicateurs non exhaustifs de l’ambition forte que je nourris pour l’Enseignement supérieur de notre pays.
Au total, en deux ans, le Gouvernement investira plus de 300 milliards de francs fcfa dans la construction, l’équipement et la réhabilitation des infrastructures universitaires. Cet effort traduit un pari optimiste que nous faisons pour une jeunesse sénégalaise bien formée, compétente et prête à assumer ses responsabilités futures dans un monde de compétition effrénée, un monde dominé par les paradigmes de la vitesse et de l’économie du savoir.
Et c’est dans cet esprit que j’ai convié à cette cérémonie, comme invités d’honneur, les 34 nouveaux agrégés en médecine de l’Université de Dakar au dernier concours du CAMES. Ils étaient 35 candidats au départ.
Par leurs brillants résultats, ces compatriotes ici présents témoignent de ce que notre Enseignement supérieur peut générer de meilleur, à force de travail et d’abnégation dans l’effort.
Chers élèves, chers étudiants, j’ai tenu à inviter ces nouveaux agrégés non seulement pour leur dire notre fierté, mais surtout pour qu’ils vous inspirent et vous servent d’exemple. Leur parcours n’a pas été de tout repos. Ils ont tous travaillé dur et surmonté des obstacles pour mériter l’ultime parchemin universitaire.
Je souhaite que leur réussite vous serve de leçon et vous rappelle que tout ne peut être facile sur le chemin de la quête du savoir, mais que le succès est toujours au bout de l’effort. Et demain, il vous appartiendra de tenir haut le flambeau pour éclairer la voie du futur.
C’est sur ce message d’espoir que je voudrais conclure en vous donnant rendez vous dans 22 mois pour l’inauguration de l’UNIDAK II.
Je vous remercie de votre aimable attention.
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