
Les membres de la branche armée du mouvement des forces démocratique de la Casamance ne sont plus les bienvenus en Guinée-Bissau. Et ils l’ont appris lundi dernier à leurs dépens. Que s’est-il passé ? D’après Libération épluché par Setal.net, des membres d’Atika ont été pris en même temps que des mercenaires bissau-guinéens qui ont attaqué une caserne militaire. Ces irrédentistes qui pouvaient commettre leur forfait sur le sol sénégalais et trouver refuge en Guinée Bissau se voient ainsi traqués par ce pays qui semble dans une logique de rompre d’avec des pratiques visant à promouvoir l’instabilité au Sud du Sénégal.