Cible potentielle du terrorisme, le Sénégal a pris la pleine mesure de la réalité de la menace en se dotant d’un Plan d’Action contre le Terrorisme (PACT) avec le soutien de la France.
Créé depuis trois (3) ans, ce PACT qui est financé par la France à hauteur de 700.000 Euros (458.500.000 F CFA) vise principalement à renforcer les services de police et de la gendarmerie, mais également les magistrats en charge de juger le terrorisme.
Il s’agit, ainsi, nous apprend le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, Abdoulaye Daouda Diallo, de renforcer la capacité de nos services de police et gendarmerie, afin de permettre une meilleure coordination et coopération régionale. Mais, précise le ministre de l’Intérieur, le travail doit se faire d'abord à l'intérieur de nos États avant de penser à une lutte régionale.
Chose qui a été bien prise en compte par le Sénégal qui s’est engagé très tôt en «insistant sur la prévention avec la mise en place d'une cellule interministérielle de veille ».
Créé depuis trois (3) ans, ce PACT qui est financé par la France à hauteur de 700.000 Euros (458.500.000 F CFA) vise principalement à renforcer les services de police et de la gendarmerie, mais également les magistrats en charge de juger le terrorisme.
Il s’agit, ainsi, nous apprend le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, Abdoulaye Daouda Diallo, de renforcer la capacité de nos services de police et gendarmerie, afin de permettre une meilleure coordination et coopération régionale. Mais, précise le ministre de l’Intérieur, le travail doit se faire d'abord à l'intérieur de nos États avant de penser à une lutte régionale.
Chose qui a été bien prise en compte par le Sénégal qui s’est engagé très tôt en «insistant sur la prévention avec la mise en place d'une cellule interministérielle de veille ».







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