Il est révolu, le temps des sophismes sémantiques comme l’a été celui des cerises !
Ou, en tout cas, cela ne sert plus à grand chose, notamment, dans une affaire d’Etat, si en l’occurrence affaire d’Etat il y’aurait d’ailleurs !
Pourquoi, au nom d’une éthique convoquée et décrétée intellectuelle, on veuille denier, au professeur de sociologie Malick NDIAYE, le droit d’être soucieux, d’identifier des faits notés par lui dans son expérience de l’Etat, pour en tirer des leçons opportunes et dire l’histoire immédiate et à l’œuvre, et non philosopher pour produire des concepts, certes utiles, mais peut être en d’autres moments de l’Histoire ?Il s’est servi, en bon Sociologue qu’il est, de son expérience dans la plus haute sphère de notre Etat, pour analyser et critiquer ce qui, pour lui, lui a semblé critiquable dans la marche de notre pays.
C’est tout ! Et en quoi cela peut-il poser problème ?
Personnellement, je dirai même que cela n’est pas mauvais !
Et je le dirai, en me référant entre autres, à la définition que François PERROUX a donné du Développement d’un pays. C’est dit-il : « La combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population, qui la rendent apte à faire croitre, cumulativement et durablement, son produit réel global ».
L’ouvrage de Malick NDIAYE, peut êtrehonnêtementperçu dans son objectif, comme un positionnement dans la perspective « perrouxienne ». Faire ce que Mr NDIAYE a fait, produire un ouvrage scientifique, après avoir occupé telle ou telle fonction publique, peut ne poser aucun problème, à condition que la posture difficile de l’intellectuel vrai, soit pleinement assumée et exprimée. C’est me semble-t-il, le cas du Professeur NDIAYE.
Comme le colonel NDAO, avant lui, il a agi sans aucun doute, en toute connaissance de cause et dans l’Intérêt Général des sénégalais, oserai-je avancer !
Pour rappel : Pas d’intellectualité effective et utile, en sciences humaines surtout politiques, sans courage paradigmatique !
Je demanderai donc humblement, à mon ami et compatriote El hadji KASSE et à certains de ses collègues conseillers comme lui, de faire leur boulot, tout en respectant en même temps et démocratiquement, la liberté des autres, quand ces derniers se croient légitimement, être entrain de faire le leur.
« Mbir mi djaroulindi ben thiow ! »
Citoyennement !
Dakar le 12/08/2014El hadji NGOM alias LAT DEGUENE THIARE
Ou, en tout cas, cela ne sert plus à grand chose, notamment, dans une affaire d’Etat, si en l’occurrence affaire d’Etat il y’aurait d’ailleurs !
Pourquoi, au nom d’une éthique convoquée et décrétée intellectuelle, on veuille denier, au professeur de sociologie Malick NDIAYE, le droit d’être soucieux, d’identifier des faits notés par lui dans son expérience de l’Etat, pour en tirer des leçons opportunes et dire l’histoire immédiate et à l’œuvre, et non philosopher pour produire des concepts, certes utiles, mais peut être en d’autres moments de l’Histoire ?Il s’est servi, en bon Sociologue qu’il est, de son expérience dans la plus haute sphère de notre Etat, pour analyser et critiquer ce qui, pour lui, lui a semblé critiquable dans la marche de notre pays.
C’est tout ! Et en quoi cela peut-il poser problème ?
Personnellement, je dirai même que cela n’est pas mauvais !
Et je le dirai, en me référant entre autres, à la définition que François PERROUX a donné du Développement d’un pays. C’est dit-il : « La combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population, qui la rendent apte à faire croitre, cumulativement et durablement, son produit réel global ».
L’ouvrage de Malick NDIAYE, peut êtrehonnêtementperçu dans son objectif, comme un positionnement dans la perspective « perrouxienne ». Faire ce que Mr NDIAYE a fait, produire un ouvrage scientifique, après avoir occupé telle ou telle fonction publique, peut ne poser aucun problème, à condition que la posture difficile de l’intellectuel vrai, soit pleinement assumée et exprimée. C’est me semble-t-il, le cas du Professeur NDIAYE.
Comme le colonel NDAO, avant lui, il a agi sans aucun doute, en toute connaissance de cause et dans l’Intérêt Général des sénégalais, oserai-je avancer !
Pour rappel : Pas d’intellectualité effective et utile, en sciences humaines surtout politiques, sans courage paradigmatique !
Je demanderai donc humblement, à mon ami et compatriote El hadji KASSE et à certains de ses collègues conseillers comme lui, de faire leur boulot, tout en respectant en même temps et démocratiquement, la liberté des autres, quand ces derniers se croient légitimement, être entrain de faire le leur.
« Mbir mi djaroulindi ben thiow ! »
Citoyennement !
Dakar le 12/08/2014El hadji NGOM alias LAT DEGUENE THIARE
Le Sénégal ‘’particulièrement préoccupé par la situation catastrophique à Gaza’’, selon le président Bassirou Diomaye Faye
