A la question de savoir comment vit- il sa liberté provisoire, le maire de Ndioum répond par la mention bien. Toutefois, il avoue être atteint moralement. « Je la vis bien, mais moralement je suis atteint. J’ai hâte que la justice se fasse. Quand je vois un de mes enfants être terrorisé par ce qui m’est arrivé, cela me pose problème », laisse entendre le maire de Ndioum dans l’Observateur repris par Setal.net. Et d’avouer son souhait « J’ai envie que tout le monde sache que je n’ai jamais eu à faire quoi que ce soit sans l’ avis de la Direction Centrale des marchés publics(DCMP) »







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