Al Amine invite les sénégalais à une introspection. Le porte –parole de Tivaouane fait savoir qu’au Sénégal, on parle trop. Un constat qui renvoie à la réalité et se justifie en partie le nombre de partis existant et la lenteur administrative. « Au Sénégal, on parle trop au point que certains se demandent s’il n’est pas mieux qu’on observe une grève de la parole pendant un mois, pour voir ce que cela donnera comme résultat », déclare –t-il dans l’Observateur repris par setal.net. Et de servir comme recommandation que « tous ceux qui animent des débats publics doivent éviter de blesser le public »







Le Pur en crise : Serigne Moustapha Sy convoque une réunion pour le 2 février prochain
