« Le titre roi du Mbalax, qui lui est chaleureusement collé par les animateurs de la place relève simplement de leur ignorance du métier », a-t-il confié.
« Les animateurs ont un métier noble mais malheureusement ils ne se donnent pas toute l’énergie nécessaire pour l’exercer » a-t-il précisé. « Leur travail, ce n’est pas seulement le micro, mais, derrière, se trouve tout un travail d’investigation » a-t-il renchéri.
Selon le chanteur, un animateur doit être « sourcé » car « il joue un rôle très important dans sa société, outre que de passer son temps à faire du « samba mbayanne » à l’antenne », a martelé Ya Cheikh.
Pour lui, le véritable roi du Mbalax, c’est Doudou Ndiaye Coumba Rose, car le mot Mbalax est une signification sonores et rythmiques de l’ensemble des valeurs culturelles propres à une communauté bien déterminée, le Wolof comme le Yélla chez les Hal poular et ce rôle celui qui l’acquitte honorablement, c’est Doudou Ndiaye Coumba Rose. Qui, argue-t-il, de par son charisme à su porté jusqu’en Chine l’art de la culture Wolof.
« Les animateurs ont un métier noble mais malheureusement ils ne se donnent pas toute l’énergie nécessaire pour l’exercer » a-t-il précisé. « Leur travail, ce n’est pas seulement le micro, mais, derrière, se trouve tout un travail d’investigation » a-t-il renchéri.
Selon le chanteur, un animateur doit être « sourcé » car « il joue un rôle très important dans sa société, outre que de passer son temps à faire du « samba mbayanne » à l’antenne », a martelé Ya Cheikh.
Pour lui, le véritable roi du Mbalax, c’est Doudou Ndiaye Coumba Rose, car le mot Mbalax est une signification sonores et rythmiques de l’ensemble des valeurs culturelles propres à une communauté bien déterminée, le Wolof comme le Yélla chez les Hal poular et ce rôle celui qui l’acquitte honorablement, c’est Doudou Ndiaye Coumba Rose. Qui, argue-t-il, de par son charisme à su porté jusqu’en Chine l’art de la culture Wolof.