Ce plan présenté devant le comité régional de lutte contre le Sida s’articule autour de trois enjeux majeurs. Il s'agit ainsi de maintenir la vigilance et de poursuivre les efforts destinés à maîtriser l'épidémie. Selon les spécialistes, malgré la prévalence relativement faible de 0,7 pour cent au niveau national, des possibilités de rebonds épidémiques liés à des facteurs divers ne sont pas à exclure. Aussi des approches décisives, efficientes et pérennes seront-elles mises en œuvre dans le nouveau plan. Toutefois, l'enjeu lié à la baisse des ressources reste une préoccupation de taille pour le plan stratégique national dont le financement dépend de l'extérieur à concurrence de 80 pour cent. D’ailleurs, il est ressorti des débats la nécessité de mobiliser les ressources domestiques pour combler le financement du plan qui présente un gap de 40 pour cent. "Le plan stratégique constitue un outil pour le renforcement du partenariat pour l'efficacité. Il est destiné à être un document de plaidoyer, de mobilisation des ressources et de référence pour la coordination de la riposte nationale", a estimé Safiétou Thiam, dans son discours d'ouverture devant le comité régional de lutte contre le Sida présidé par le gouverneur de la région, Mouhamadou Moustapha Ndao. Le document qui résulte du processus de révision du plan stratégique national 2011-2015 et s'inscrit dans le sillage de l'engagement pris par les chefs d'Etat de l'Union africaine lors de Abuja + 12. Cette rencontre a été sanctionnée par la volonté exprimée de mettre fin à l'épidémie du Sida d'ici 2030. De ce point de vue, le nouveau plan stratégique national vise un objectif de zéro nouvelle infection, zéro décès lié au Sida et zéro discrimination. Ce plan présenté devant le comité régional de lutte contre le Sida s’articule autour de trois enjeux majeurs. Il s'agit ainsi de maintenir la vigilance et de poursuivre les efforts destinés à maîtriser l'épidémie. Selon les spécialistes, malgré la prévalence relativement faible de 0,7 pour cent au niveau national, des possibilités de rebonds épidémiques liés à des facteurs divers ne sont pas à exclure. Aussi des approches décisives, efficientes et pérennes seront-elles mises en œuvre dans le nouveau plan. Toutefois, l'enjeu lié à la baisse des ressources reste une préoccupation de taille pour le plan stratégique national dont le financement dépend de l'extérieur à concurrence de 80 pour cent. D’ailleurs, il est ressorti des débats la nécessité de mobiliser les ressources domestiques pour combler le financement du plan qui présente un gap de 40 pour cent. "Le plan stratégique constitue un outil pour le renforcement du partenariat pour l'efficacité. Il est destiné à être un document de plaidoyer, de mobilisation des ressources et de référence pour la coordination de la riposte nationale", a estimé Safiétou Thiam, dans son discours d'ouverture devant le comité régional de lutte contre le Sida présidé par le gouverneur de la région, Mouhamadou Moustapha Ndao. Le document qui résulte du processus de révision du plan stratégique national 2011-2015 et s'inscrit dans le sillage de l'engagement pris par les chefs d'Etat de l'Union africaine lors de Abuja + 12. Cette rencontre a été sanctionnée par la volonté exprimée de mettre fin à l'épidémie du Sida d'ici 2030. De ce point de vue, le nouveau plan stratégique national vise un objectif de zéro nouvelle infection, zéro décès lié au Sida et zéro discrimination.
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