L’Assemblée Générale de la Ligue de Saint-Louis a connu un nouveau report, cette fois à cause de l’incapacité manifeste de la commission électorale. Malgré la présence des forces de l’ordre, la commission a choisi de céder à la pression du camp adverse, empêchant ainsi la tenue de l’élection. Selon plusieurs témoins présents, les fauteurs de trouble ont été protégés, et l'intégrité du processus démocratique a été mise à mal.
Amadou Dia, président sortant depuis deux décennies, a vu sa position menacée par un climat de tension croissant. La partie adverse, qui détenait une majorité de voix, a accusé la commission d’agir de manière partiale et de négocier au lieu de garantir la transparence du vote. Dans une ambiance de chaos, où des urnes ont été bloquées et des objets de jeu sabotés, la commission a échoué à garantir un environnement de vote sécurisé, rendant impossible l'issue d'une élection libre et équitable. Le Comité de recours devra désormais se prononcer sur la légitimité des résultats de l’AG, dont la gestion a été entachée de nombreuses irrégularités. Il reste à savoir si Amadou Dia, qui a déjà vu sa légitimité mise en question à plusieurs reprises, parviendra à se maintenir au pouvoir malgré le contexte actuel de rejet généralisé de sa présidence.
Amadou Dia, président sortant depuis deux décennies, a vu sa position menacée par un climat de tension croissant. La partie adverse, qui détenait une majorité de voix, a accusé la commission d’agir de manière partiale et de négocier au lieu de garantir la transparence du vote. Dans une ambiance de chaos, où des urnes ont été bloquées et des objets de jeu sabotés, la commission a échoué à garantir un environnement de vote sécurisé, rendant impossible l'issue d'une élection libre et équitable. Le Comité de recours devra désormais se prononcer sur la légitimité des résultats de l’AG, dont la gestion a été entachée de nombreuses irrégularités. Il reste à savoir si Amadou Dia, qui a déjà vu sa légitimité mise en question à plusieurs reprises, parviendra à se maintenir au pouvoir malgré le contexte actuel de rejet généralisé de sa présidence.