SETAL.NET-Après un mariage qui a duré le temps d’une rose entre les journalistes Khalifa Khalifa Diakhaté de TFM et Ndèye Astou Gueye de Walf TV, l’amour a viré au vinaigre et les comptes se soldent désormais devant le juge. La procédure judiciaire a été mise en branle par l’ex époux qui a servi une citation directe à son ex épouse à qui il réclame 5 millions FCFA pour laver son honneur dans cette affaire d’abandon de domicile conjugal, de services corporels, d’escroquerie à jugement et de faux et usage de faux.
L’affaire évoquée hier par le juge Correctionnel a été renvoyée au 5 juin pour la comparution de Ndèye Astou Gueye qui a brillé de par son absence. En effet, si le présentateur de la TFM en est arrivé là, c’est à croire la citation directe, suite à un concours de circonstances.
D’abord une agression verbale, alors qu’elle était enceinte, un jour de juin 2012 à l’issue de laquelle la journaliste a quitté la maison conjugale avant d’informer son ex mari par sms de son désir de divorcer après accouchement à l’insu de Kahlifa Diakhaté.
Ce dernier voulant déclarer son enfant citoyen français au consulat de France s’est heurté au refus de son épouse de fournir la copie littérale de son acte de naissance. En fait, contrairement à l’année 1980, date de naissance prétendue par la journaliste, cette dernière serait née en 1976. Un faux qui a rendu impossible la régularisation de la situation. Le plaignant accuse également son ex épouse d’avoir obtenu un jugement de divorce par défaut, sur la base de déclaration mensongère.
Texte l’As
L’affaire évoquée hier par le juge Correctionnel a été renvoyée au 5 juin pour la comparution de Ndèye Astou Gueye qui a brillé de par son absence. En effet, si le présentateur de la TFM en est arrivé là, c’est à croire la citation directe, suite à un concours de circonstances.
D’abord une agression verbale, alors qu’elle était enceinte, un jour de juin 2012 à l’issue de laquelle la journaliste a quitté la maison conjugale avant d’informer son ex mari par sms de son désir de divorcer après accouchement à l’insu de Kahlifa Diakhaté.
Ce dernier voulant déclarer son enfant citoyen français au consulat de France s’est heurté au refus de son épouse de fournir la copie littérale de son acte de naissance. En fait, contrairement à l’année 1980, date de naissance prétendue par la journaliste, cette dernière serait née en 1976. Un faux qui a rendu impossible la régularisation de la situation. Le plaignant accuse également son ex épouse d’avoir obtenu un jugement de divorce par défaut, sur la base de déclaration mensongère.
Texte l’As