
D’ailleurs, c’est ce qui aurait poussé les autorités douanières à mettre un terme, momentanément, à la circulation de ses produits, pour expertise médicale. Selon le journal Walf Grand’Place, ces très prisés « médicaments » d’hommes à la recherche d’une virilité artificielle, ne sont pas aussi clean que ça à la base. Ils seraient faits à bas de reins de chien, d’écorce de rhinocéros et de zèbre. Ce qui risque, si l’information est avérée, de mettre hors circuit Ngora keng et Mbir qui font une recette journalière d’un million, soit 40% des recettes de la boite de Ben Bass Diagne.