Après avoir gagné le concours de Miss Mureto en Italie, la sénégalaise Bruna Ndiaye a été photographié dans le plus simple appareil, c'est-à-dire en tenue d’Eve. Les photos ont fait le tour du monde. Aujourd’hui, le mannequin qui séjourne au Sénégal pour, dit-elle, « se ressourcer », fait son introspection. Et bat sa coulpe.
Dans un entretien avec l’Observateur parcouru par Setal.net, Bruna Anta Ndiaye reconnait que faire ses photos nus ont été la plus grande erreur de sa vie. « Je suis consciente que faire des photos nue ne fait en aucun cas partie de la culture africaine encore moins sénégalaise », avoue-t-elle. Cependant, comme pour se dédouaner, elle précise qu’elle a été trompée de bonne foi. Et comment ? Elle raconte : « Ce jour là, je suis allée à mon agence pour faire un simple shooting, comme d’habitude. Mes agents ont commencé à me préparer psychologiquement en me disant que si je voulais percer dans ce métier, il fallait que je me soumette à certaines règles, dont me photographier dans certaines tenues pour des magazines prestigieux. Sur le champ, je n’ai pas compris, mais je leur faisais confiance. Lorsqu’on a débuté la séance, j’avais des habits sur moi et ils m’ont demandé de les retirer petit à petit, de manière subtile, jusqu'à ce que je me retrouve toute nue. Ces clichés se sont retrouvés sans mon aval dans des revues comme Play Boy ».
Poursuivant sa plaidoirie, Bruna Ndiaye fait savoir qu’elle n’a reçu un copeck pour faire ses photos. Mieux, elle révèle avoir voulu ester en justice ses bourreaux mais a fait machine arrière parce qu’elle ne voulait pas « en rajouter ».
Dans un entretien avec l’Observateur parcouru par Setal.net, Bruna Anta Ndiaye reconnait que faire ses photos nus ont été la plus grande erreur de sa vie. « Je suis consciente que faire des photos nue ne fait en aucun cas partie de la culture africaine encore moins sénégalaise », avoue-t-elle. Cependant, comme pour se dédouaner, elle précise qu’elle a été trompée de bonne foi. Et comment ? Elle raconte : « Ce jour là, je suis allée à mon agence pour faire un simple shooting, comme d’habitude. Mes agents ont commencé à me préparer psychologiquement en me disant que si je voulais percer dans ce métier, il fallait que je me soumette à certaines règles, dont me photographier dans certaines tenues pour des magazines prestigieux. Sur le champ, je n’ai pas compris, mais je leur faisais confiance. Lorsqu’on a débuté la séance, j’avais des habits sur moi et ils m’ont demandé de les retirer petit à petit, de manière subtile, jusqu'à ce que je me retrouve toute nue. Ces clichés se sont retrouvés sans mon aval dans des revues comme Play Boy ».
Poursuivant sa plaidoirie, Bruna Ndiaye fait savoir qu’elle n’a reçu un copeck pour faire ses photos. Mieux, elle révèle avoir voulu ester en justice ses bourreaux mais a fait machine arrière parce qu’elle ne voulait pas « en rajouter ».