Vendredi dernier, contre toute attente, le promoteur de lutte Luc Nicolaï a bénéficié d’une liberté conditionnelle après avoir été condamné en première instance à 5 ans de prison dont trois ans avec sursis pour détention de drogue, association de malfaiteurs, complicité de tentative d’extorsion de fonds etc. Mais cette mesure favorable à Luc Nicolaï ressemble à une bourde judiciaire d’autant plus que son dossier est en cours. En effet, suite au verdict du tribunal correctionnel de Dakar, jugeant la peine peu sévère, le parquet a interjeté appel. Ses conseils lui ont emboité le pas pour obtenir une réduction de la peine. Or pour bénéficier d’une grâce ou d’une liberté conditionnelle, relève le quotidien Libération, il faut d’abord que le condamné le soit définitivement. Ce qui n’est pas le cas dans l’affaire Luc, souligne nos confrères.







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