Le président Macky Sall a rappelé l’impasse dans laquelle le système multilatéral hérité de l’après deuxième guerre mondiale se trouve, précisant qu’il « peine à offrir des réponses concertées aux défis contemporains » en matière de paix, de lutte contre le terrorisme, de réchauffement climatique et de résurgence d’une guerre commerciale majeure entre grandes puissances et dont l’Afrique sera une victime.
Portant les habits de l’avocat de l’Afrique dans une géopolitique trouble aux crises systémiques et protéiformes, l’ancien président de la République a énuméré quatre défis majeurs pour le continent.
D’abord, il a rappelé que sans la paix, la sécurité et la stabilité, aucune stratégie d’émergence de l’Afrique ne saurait prospérer. Ensuite, il a théorisé le développement économique comme seul moteur véritable de souveraineté et d’inclusion de l’Afrique, dans le temps du monde. Macky Sall a également milité pour une transition énergétique juste, dans le contexte du réchauffement climatique.
Il a enfin plaidé pour la réforme de la gouvernance mondiale, sujet au cœur de des préoccupations de leader internationalement reconnu et respecté. Il a rappelé que « l’idéal à la base du multilatéralisme, c’est de promouvoir entre des pays aux forces inégales, des relations de collaboration confiante, solidaire et inclusive ». Il a jouté que « Le G20 a montré la voie en admettant l’Union africaine comme membre de plein droit, à l’initiative du Sénégal durant sa présidence de l’UA.
Macky Sall a salué comme une avancée majeure l’octroi d’un troisième siège à l’Afrique au Conseil d’administration du FMI et a réitéré son plaidoyer pour que d’autres instances, comme le Conseil de sécurité et la Banque mondiale suivent cet exemple, afin d’aider à « l’avènement d’un multilatéralisme plus inclusif, plus légitime et plus efficace ».
Achevant son discours il a plaidé pour l’espérance. « Non pas une espérance incantatoire, mais une espérance travaillée ; une espérance agissante, nourrie par le courage du dialogue, la force de la coopération et la foi dans notre humanité commune » précise-t-il.
Macky Sall est l’invité d’honneur du Global Solution Summit, qui se tient les 5 et 6 mai 2025 à Berlin.
Portant les habits de l’avocat de l’Afrique dans une géopolitique trouble aux crises systémiques et protéiformes, l’ancien président de la République a énuméré quatre défis majeurs pour le continent.
D’abord, il a rappelé que sans la paix, la sécurité et la stabilité, aucune stratégie d’émergence de l’Afrique ne saurait prospérer. Ensuite, il a théorisé le développement économique comme seul moteur véritable de souveraineté et d’inclusion de l’Afrique, dans le temps du monde. Macky Sall a également milité pour une transition énergétique juste, dans le contexte du réchauffement climatique.
Il a enfin plaidé pour la réforme de la gouvernance mondiale, sujet au cœur de des préoccupations de leader internationalement reconnu et respecté. Il a rappelé que « l’idéal à la base du multilatéralisme, c’est de promouvoir entre des pays aux forces inégales, des relations de collaboration confiante, solidaire et inclusive ». Il a jouté que « Le G20 a montré la voie en admettant l’Union africaine comme membre de plein droit, à l’initiative du Sénégal durant sa présidence de l’UA.
Macky Sall a salué comme une avancée majeure l’octroi d’un troisième siège à l’Afrique au Conseil d’administration du FMI et a réitéré son plaidoyer pour que d’autres instances, comme le Conseil de sécurité et la Banque mondiale suivent cet exemple, afin d’aider à « l’avènement d’un multilatéralisme plus inclusif, plus légitime et plus efficace ».
Achevant son discours il a plaidé pour l’espérance. « Non pas une espérance incantatoire, mais une espérance travaillée ; une espérance agissante, nourrie par le courage du dialogue, la force de la coopération et la foi dans notre humanité commune » précise-t-il.
Macky Sall est l’invité d’honneur du Global Solution Summit, qui se tient les 5 et 6 mai 2025 à Berlin.