Aussi l’étude a indiqué que les relations des victimes avec leurs auteurs et co-auteurs révèlent que les proches constituent 46%, l’inconnu 15%, le parent biologique 10%, le voisin 4% et le viol consommation de mariage précoce/forcé et autres 6%.
A l’en croire, livre le journal, l’ignorance constitue la principale cause des viols avec 54,9%, suivie des coutumes et tradition avec 42,5%. Par ailleurs, 59% des répondants considèrent la dissimulation comme étant la première réaction des victimes. La non dénonciation constitue 66,8%, la première entrave est l’accès à a justice. Et les contraintes sont, « la peur de la stigmatisation, crainte de publicité et la peur des représailles mystiques ».