Selon des sources reprises par EnQuête, il s’agit d’un montant de 20 milliards FCFA affectés aux ordures et aux bourses des étudiants, deux épines difficiles à extraire du pied du gouvernement de Mimi Touré. Il se trouve que les deux secteurs ont besoin d’être renforcés financièrement pour passer sans encombres le nouvel et ne pas se retrouver en 2014 avec des dépenses qui auraient dû être gérées en 2013. Ce qui éviterait à coup sûr, des soubresauts dans les universités, mais aussi les montagnes d’ordures jonchant les rues du fait des mouvements d’humeur des éboueurs.
La posture de l’État face au FMI : « Nous comptons d’abord sur [nos] propres moyens »
