Dans le souci de résoudre la crise scolaire au Sénégal, le Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur(SAEMS) a initié, hier, à la chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar une rencontre intitulé : « Rencontre des Acteurs au Secours de L’Ecole », avec comme slogan L’ECOLE d’abord et avant tout ! C’était le moment pour enseignants, syndicats, membres du forum civil et parents d’élèves de relever certains points qui plombent la bonne marche du système éducatif sénégalais.
A en croire le Professeur Seydi Ababacar Ndiaye, SG du SAEMS : « Aujourd’hui, 6 mois l’élection de Macky Sall à la tête du pays, rien n’a été entrepris pour venir à la rescousse de l’éducation malade de plusieurs symptômes. Nous sommes au point de départ, sinon avons reculé dans les négociations pour pacifier, voire stabiliser notre système éducatif. Cette rencontre qui réunit plusieurs acteurs de l’école est un premier jalon. Nous entendons faire front. On n’acceptera pas que l’éducation soit reléguée au second plan, qu’elle ne figure pas dans les priorités du gouvernement. Nous allons concocter un plan d’actions », a lancé M. Ndiaye.
Et M. Mamadou Lamine Dianté du CUSEMS d’étaler ses désespoirs vis-à-vis du nouveau pouvoir : « Aucun signe n’annonce qu’il y a rupture au Sénégal. Les nouvelles autorités cherchent, au quotidien à nous mettre en mal avec l’opinion. Nous ne voulons plus rester les parents pauvres de la fonction publique. Le Sénégal doit fonder son émergence sur l’économie du savoir .Macky Sall ne le comprend comme ça. Il avait la crise scolaire comme fonds de commerce électoral .Nous ne laisserons pas faire ! Nous croyons dur comme fer que la stabilité du système reste tributaire de la prise en charge de nos revendications ».
Rappelons qu’au finish, les enseignants n’ont pas raté l’occasion de déplorer l’attitude d’une certaine presse manipulée par l’Etat pour les tourner en bourrique. Ils en veulent pour preuve, l’édition du journal l’Observateur de ce samedi (30 Septembre 2012).
Ibrahima Ngom
A en croire le Professeur Seydi Ababacar Ndiaye, SG du SAEMS : « Aujourd’hui, 6 mois l’élection de Macky Sall à la tête du pays, rien n’a été entrepris pour venir à la rescousse de l’éducation malade de plusieurs symptômes. Nous sommes au point de départ, sinon avons reculé dans les négociations pour pacifier, voire stabiliser notre système éducatif. Cette rencontre qui réunit plusieurs acteurs de l’école est un premier jalon. Nous entendons faire front. On n’acceptera pas que l’éducation soit reléguée au second plan, qu’elle ne figure pas dans les priorités du gouvernement. Nous allons concocter un plan d’actions », a lancé M. Ndiaye.
Et M. Mamadou Lamine Dianté du CUSEMS d’étaler ses désespoirs vis-à-vis du nouveau pouvoir : « Aucun signe n’annonce qu’il y a rupture au Sénégal. Les nouvelles autorités cherchent, au quotidien à nous mettre en mal avec l’opinion. Nous ne voulons plus rester les parents pauvres de la fonction publique. Le Sénégal doit fonder son émergence sur l’économie du savoir .Macky Sall ne le comprend comme ça. Il avait la crise scolaire comme fonds de commerce électoral .Nous ne laisserons pas faire ! Nous croyons dur comme fer que la stabilité du système reste tributaire de la prise en charge de nos revendications ».
Rappelons qu’au finish, les enseignants n’ont pas raté l’occasion de déplorer l’attitude d’une certaine presse manipulée par l’Etat pour les tourner en bourrique. Ils en veulent pour preuve, l’édition du journal l’Observateur de ce samedi (30 Septembre 2012).
Ibrahima Ngom
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